Lecteur, ami, ex-amant,
Aujourd’hui je te propose de gagner des jouets pour faire des trucs dégueulasses avec qui tu veux. Non parce que ça ne me regarde pas, avec qui tu fais des trucs dégueus, sauf tu tiens absolument à m’en faire part auquel cas, c’est différent, je t’écoute.
Les jouets en questions sont les suivants:
THE WHIRLER
Un gode qu’il est design et qu’il est plutôt pour les ambitieuses avec ses rêveurs 7.5 », soit 19 cm.
De la gamme des Gyros Boners, Miam, quoi.
LUMPY Mini Design for travelling convenience
Pour les timides ou celles/ceux qui voyagent, celui-ci. Mesure 4″, soit 10.2 cm.
On nous promet une « Velvet Touch » et que c’est « Where the fun begins » attendu que jeune homme est waterproof.
And last but not least…
MENOTTES ATTACHE-MOI!
« Ces douces menottes doublées de fausses fourrure noire vous permettent de mettre en scène vos fantasmes les plus secrets (sans risquer de faire souffrir vos poignets). Soyez complices en inventant les scenarii les plus excitants. Une jolie façon de mettre en scène ses fantasmes! »
Merdique ce texte… J’aurais fait mieux mais ç’aurait aussi été plus sale…
Le règlement: Tu me dis ce que tu veux gagner. Tu as jusqu’à samedi prochain minuit pour participer. Tu me racontes ta pire expérience, ta meilleure expérience, tes fantasmes, un truc qui a quand même plus ou moins rapport avec le sexe. Soit drôle ou émouvant (tout le monde n’est pas drôle, j’en ai conscience). Du vécu c’est mieux, de l’inventé si tu veux aussi mais alors il faut le préciser. La lèche n’est pas interdite mais c’est pas ça qui te fera gagner. Be Good.
Bye.
PS: Les résultats seront affichés en EDIT en bas du poste dimanche 12 septembre.
RE-PS: Je te laisse, j’ai un saucisson corse et L’Année où j’ai Vécu Selon la Bible à m’enfiler…
Ceci n’est pas un billet sponsorisé parce que personne y veut me sponsoriser. C’est cette pute de Frida de Bergerac qu’il faut remercier. Merci ma belle, je t’aime.
Attendu que j’ai plus assez de place dans ma boite à sextoys, je décline toute participation à ce prestigieux concours.
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Merci, c’est sûr que ça donne envie de participer!
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Toi et moi nous connaissons mon talent, il faut que je laisse une chance aux autres d’avoir un lot.
Je ne suis pas un monstre.
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Euhhhhhhhhhh ??? On gagne quoi déjà ??? Un saucisson corse « Velvet Touch » ????? C’est ça ? Non ??? Bah ça me donne des idées alors !
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LES LOTS SONT-ILS D’OCCASION ?????
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Oui, évidemment.
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» j’ai un saucisson corse et L’Année où j’ai Vécu Selon la Bible à m’enfiler… »
T’as des plans culs space, vieux.
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Nan mais soyez sérieux, là. On me raconte ses histoires de fion et plus vite que ça. Y’en a plein qui sont timides alors les piliers de comptoirs ils sont gentils ils ouvrent la voie, ils chauffent la salle.
Merci bien.
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Pilier, je peux le mettre sur mon cv ?
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Mode Plaisir est une boutique de Sexe-Shop en ligne spécialisée dans les sex toys, godes et vibromasseurs sur internet. Envoi en toute discrétion. Paiement sécurisé.
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Merci pour la pub
Bisesssssssssss
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WTF ?????
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WTF ???
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Vous vendez des lampes frontales?
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Et si on t’envoies trois textes, on peut gagner le lot?
Je sens que je vais être prolifique.
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Lâche-toi ma Roro. Mais c’est dans les coms qu’il faut poster. Tu peux jouer pour tous les lots si tu veux.
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T’as bien fait de préciser « fausse » fourrure, sinon t’aurais eu tous les bardolâtres sur le dos…
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Toi qui est vieux je suis sûre que t’as plein de trucs dégueus à raconter, y’a pas un truc qui te fait de l’oeil? Pour ta bonne amie, à Noël?
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Je pourrais te raconter « ENCULEEEEEZ-MOI DOCTEUR » que me hurlait une patiente en pleine crise d’érotomanie lors de l’une de mes premieres visites de jeune remplaçant en médecine générale à Clichy, mais ce serait limite concernant le secret professionnel…
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LAULE. Tu avances ou tu recules?
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Tu m’as tué Doc. Réellement, je ne m’en remettrai sûrement jamais.
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Elle aussi elle m’a tué quand elle m’a attrapé par la… cravate. Faut noter qu’elle était entièrement nue parce qu’elle sortait de son bain. Je lui ai dit de se retourner ce qu’elle a fait bien volontiers (OOOH OUI!!..ENCULEEEZ-MOI DOCTEUR!!!)… J’ai pu alors expérimenter l’extraordinaire pouvoir du Droleptan…
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Moi je peux point. Pas eu assez d’amants. Le risque que le pire se reconnaisse existe…
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Me lance.
Dijon, Mars 2006. J’ai 21 ans. Ce soir-là, y’a le Saïan Supa Crew à La Vapeur.
J’avais déjà rencontré Élodie dans des soirées, parce que tu vois, quand tu sors à Dijon, t’as bizarrement tendance à recroiser souvent les mêmes regards.
Ce soir elle est là, avec son décolleté qui me fixe des yeux. Le concert se passe, déhanchements et collés-serrés, bières bon marché et vapeurs révolutionnaires.
Au moment du rappel, elle m’enlace et me susurre : « Tu dors chez moi » en me mordillant le lobe. Alors moi vois-tu, j’ai toujours adoré qu’on me donne des ordres en me bouffant les portugaises, et j’ai pas peur de jouer à l’extérieur. Je me dis qu’un carrosse comme ça, si c’est pas déjà piloté, ça se laisse pas dormir à la fraîche. Et que même si le navire a déjà un capitaine, c’est pas parce que y’a un gardien qu’on peut pas marquer de buts. Je me dis aussi qu’on dévalorise beaucoup trop la métaphore sportive.
Je ramène Élodie dans son T1 bis. Ambiance. Musique, Vodka Gingembre, White Widow. On se bisouille, on se caresse. Feu à tous les étages, Élodie est déchaînée et elle sait s’y prendre. Après d’interminables préliminaires, j’ai mal tellement j’en ai envie. Poche arrière-droite, je déroule.
Élodie m’arrête net et me lance le sempiternel : « Jamais le premier soir ».
Moi : « Ha ha ha ».
E : « Non je suis sérieuse ».
Moi : « Excellent ».
E : « T’es con ou quoi je déconne pas ».
Moi, qui commence à douter : « Mais euh allez quoi, promis tu t’en rendras même pas compte ».
E, agacée : « Bonne nuit ».
Moi : « Tu t’es déjà pris un bouton de jean projeté à 150 km/h dans le cœur? ».
Bon, me voilà renvoyé à mon autonomie sexuelle dans la salle de bain d’une Elo endormie et « socialement-pas-une-pute ».
Au petit matin, je suis réveillé par une Élodie nue s’affairant sur mon manche.
E : « On le fait? »
Je n’ai rien répondu, je me suis levé, rhabillé, et suis parti sans mot piper. Je ne sais pas ce qui a changé pendant que je dormais. Je n’ai jamais revu Élodie.
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Tu me fais rêver mais tu ne me dis pas pour quel gain tu joues!
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Ma frustration est totalement désintéressée.
Les menottes steuplait.
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Au début, j’étais jaloux de ton histoire, beaucoup moins à la fin.
C’est pourtant vrai que les françaises sont parfois compliquées.
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« Je n’ai rien répondu, je me suis levé, rhabillé, et suis parti sans mot piper. » => La vache, ça c’est théâtral, grandiose ! Genre, je sors par la grande porte au lieu de m’immiscer par la petite.
« Je ne sais pas ce qui a changé pendant que je dormais. » => T’as dessoûlé peut-être ?
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Ma cousine adore les sex toy’s. Mais genre vraiment. Elle a plusieurs modèles, des jaunes, des violets, des roses… Tous très gros. Et tous rangés dans le tiroir de sa table de nuit, accessibles rapidement en cas d’envie irrépressible.
Il y a deux ans, elle se fait voler son chéquier. Evidemment, elle porte plainte, plusieurs centaines d’euros ont été dépensées… La police financière a un doute: et si tout ça était un coup monté par une petite étudiante pour se faire rembourser l’achat d’un Home Cinéma? Pour en avoir le coeur net, les gentils policiers marseillais décident de perquisitionner son appartement.
7h30 DING DONG… C’est la police, on vient fouiller chez vous!
Panique, ma cousine en culotte-débardeur (oui ben 7h30 bordel!) tente désespérement de planquer ses joujoux. Peine perdue. Et c’est rouge de honte qu’elle a du déballer le contenu de son tiroir, devant des monsieurs visiblement très excités, à la recherche d’une TV. Dans le tiroir. Sait-on jamais.
Du coup, je me dis que si elle avait un mini LUMPY, ça serait plus pratique à cacher en cas de perquisition…
Epilogue:
1) On lui avait vraiment volé son chéquier
2) Elle a été innocentée
3) Elle a désormais beaucoup d’amis à la brigade financière de Marseille
True story
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Première contribution à ton blog et tu me fais raconter ma pire foirade. On peut dire que tu sais t’y prendre Vieux Félin! ;)
Erasmus à l’étranger, célibataire pour la première fois depuis (très) longtemps je me lâche quelque peu et puis dans mon super appartement en colocation j’ai une terrasse. Le climat n’étant pas celui de l’Estonie j’en profite. Un soir en boîte je rencontre une bretonne. On sympathise entre françaises expats. Et puis l’alcool aidant on devient beaucoup plus proches, jusqu’à ce qu’elle me glisse à l’oreille qu’elle a « l’habitude » des filles et qu’elle me ferait bien découvrir quelques petits trucs de ce côté là. Moi je rigole et puis je l’embrasse parce que bon hein on n’a qu’une vie et qu’à 3000 bornes de chez moi personne ne m’en tiendra rigueur. Le seul petit hic c’est que justement à cette fête il y a un petit parisien que je croise souvent et que j’aime bien. J’en touche un mot à ma bretonne et j’avoue ne pas très bien savoir comment j’en suis arrivée là mais je me retrouve à rouler des pelles indifféremment à ma bretonne et à mon parisien. Intéressant d’un point de vue sociologique.(je pense dans ma tête fortement alcoolisée)Encore quelque peu consciente de ce que je suis en train de faire je leur propose de continuer la fête chez moi, après tout j’ai une terrasse (oui je sais je l’ai déjà dit mais cette terrasse elle démontait sa race) je me retrouve donc à la belle étoile sur un matelas de fortune complètement nue à jouer au docteur avec le docteur et l’infirmière. Tout se passait plutôt pas mal (même très bien) jusqu’au moment où notre parisien s’est relevé d’un coup nous laissant toutes les deux plutôt surprises vu qu’il répétait: « je dois partir, vous êtes le diable, il faut que je parte, vous êtes le diable « . Sa crise mystique amorcé le sieur pris ses jambes à son cou (sans ses chaussettes qu’il abandonna lâchement) et s’enfuit dans la nuit. Je crois ne jamais avoir autant rigolé que cette nuit là, avec ma bretonne. « vous êtes le diable » non mais vraiment…
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Marie-Antoinette,
ton histoire donne envie,
de lui couper la tête.
(et aussi de savoir ce que tu as fait avec ta bretonne, bordel)
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Ouais, aussi. La bretonne nom de Dieu !
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Moi je sais, euh, moi je sais, euh !
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à partir de 7’00 » :
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record d’apnée battu, pasta
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bon déjà vous êtes tous des dégueulasses. Je vous rappelle que lunpy c’est d’abord le sympa camarade de Winnie l’ourson :

ensuite, la perspective de faire un truc interdit avec la star des gosses ça pourrait peut-être réveiller ma libido en stand by, cause le truc le plus trash sa mère que j’ai fait ça a été de forniquer dans un amphithéâtre sorbonnard, vide. Alors que éléphant violet + amphi, ça a tout de suite plus de gueule.
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Elephant violet+amphi, ça donne surtout l’impression que tu prends des trucs…
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Klum a dit amphi, pas amphèt’…
Les amphétamines c’est pas bieeeeeeeen (hum).
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Moi, je fais jamais le sexe donc je ne peux pas participer au contest.
Mais je voudrais quand même stipuler qu’à mon avis le velvet touch avé la fausse fourrure, ça doit gratter…
Par ailleurs, je tiens à rappeler que si Vivi Guidoni (Charcuterie Guidoni – Route Aéroport – 20290 Lucciana
04 95 36 04 54) fait de la si bonne charcuterie, c’est pas pour qu’Elido s’en serve comme un vulgaire cigare à Bill !
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J’ai failli zapper : Elido et toi (j’avais frappefauté en ctrl-v).
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Deuxième fois que j’ose commenter chez toi…
Il y a quelques années, j’étais déjà vieille je dérape avec un gamin de..24 ans!!
Le problème avec les petits jeunes biberonnés au mauvais porno c’est que si ils te font pas jouir ils deviennent Brice Hortefeux!!
Alors il s’applique, besogneux limite industrieux et c’est long, terriblement!
J’ai le temps de: faire ma liste de courses, me dire que j’ai oublié de payer la cantine, hésiter sur l’épilation définitive..
Au bout d’un TRES long moment, je commence à prendre les vers, c’est que j’ai pas que ça à foutre moi, j’ai des gosses à aller border!!
Alors je simule avec une ferveur toute dorcelienne!!
Enfin il balance » ja vais jouir » et là jamais je ne saurai pourquoi la salope tapie en moi se manifeste pile à ce moment là, mais je ne peux m’empêcher de rétorquer: » pas moi »!!
Je veux bien les menottes d’abord parce qu’elles sont mignonnes et puis parce que mon mec ne supporterait pas que je le cornardise avec le pote de Winnie!!
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Ca dépend ce que tu appelles être « déjà vieille »… Moi j’ai 25 ans et ça ne m’empêche pas d’être diablement attirée par une amie qui en 42…
L’âge, finalement, on s’en fout (enfin dans une certaine mesure, hein !)
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Il était en couple. Pas moi. Nous avons fait l’amour une nuit de mai dans un jardin public. Puis nous sommes rentrés chacun chez soi avec l’intention de prendre comme d’habitude l’air indifférent lorsqu’on allait se croiser le lendemain à la fac. Sauf qu’on était recouvert chacun des mêmes boutons, piqués par la même bestiole… Très discret.
Désolée, j’ai pas mieux.
Et sinon, j’ai un nouveau fantasme : coucher avec un mec qui s’appelle Karl-Henrik.
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Dans quelle langue dois-je vous dire mes chers participants de me dire pour quel lot vous jouez?
Merci pour elle!
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le kit voyage pour aller en suède
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au fait chuis hors concours avec ma référence krisprolls?
alleeeeeeeeeeez
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Non, Pasta. Mais je m’attendais à un truc bien croustillant de ta part! Tu peux poster en anonyme aussi…
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Vu que je ne pense pas être l’heureuse gagnante, je n’ai pas vu le caractère indispensable de cette précision… Mais pour respecter le règlement : tout sauf les menottes (mes foulards font très bien l’affaire).
Voilà !
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Dans quelle langue ? En suédois…
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Pourquoi est-ce qu’en lisant les commentaires j’ai l’impression de regarder « Attention à la Marche » ?
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Aucune idée, j’ai jamais regardé cette émission.
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Je me rends compte que j’ai commenté avec un peu trop de verres de vin blanc dans le cornet. Je tenais donc a apologiser myself pour les fautes et pour le manque de style criant de mon récit. Bordel, je note pour plus tard que je ne devrais pas lire ton blog les soirs de beuverie solitaire Vieux Félin. Néanmoins, la bretonne allant très bien, mais étant retournée dans ses contrées finistériennes (elle m’écrit parfois sur mon wall facebook: « tu baises pour un choco? » – oui les bretonnes ont beaucoup d’humour)je voudrais bien le mini-truc-qui-fait-du-bien, parce que je voyage beaucoup [CQFD]
PS: YoossF, la référence à « Attention à la Marche » n’est vraiment pas gentille du tout.
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Héhé,c’était pas vraiment le but ;-)
Mais bon, je pense qu’Antoine et moi recherchions surtout des détails sur toi et cette bretonne, mais c’est pas grave…
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Nan mais si je donne des détails après tu vas t’enfuir en criant : « Marie-Antoinette, vous êtes le Diable! ». Oui parce que tu me vouvoieras aussi.
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Hahahahaha, bien vu.
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T’as tort, je dis que tu devrais continuer à commenter bourrée.
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Ah mais complètement ! Moi j’ai beaucoup aimé ! (bon, en même temps je ne suis pas une référence)…
« Marie Antoinette, vous êtes le diaaaaaaaaable ! »
-> waou les scénario que ça engendre, ça… oO
Miam !
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Alors, développement :
Je dis ça parce que dans cette sublime émission injustement arrêtée après une bien trop courte dizaine d’années, il y avait toujours une question à caractère sexuel, très originalement appelée « La question coquine » (souvent des faits d’une importance capitale du style « Combien pèse en moyenne une testicule ? », ou « Sur 100 français, combien lèchent les pieds de leur partenaire en guise de préliminaires ? »). L’arrivée de cette question donnait toujours lieu à un jingle débordant de créativité ou l’on voyait des bonhommes roses moches se déhancher sur « You Can Leave Your Head On » et l’ami Jean-Luc prendre des poses que même Boy George n’assumerait pas.
Et donc, le rituel pour les candidats était de raconter une anecdote de leur vie d’en dessous de la ceinture. Ca a commencé soft, avec des petites histoires gentillettes, jusqu’à virer vers des dossiers qui révélaient parfaitement l’ambiance de TF1 et l’imbécilité des candidats qui ne se rendaient pas compte que l’émission était diffusé à 12H. Ex : « Ah bah moi, le jour ou je l’ai vu nu la première fois, oooooh… Je me suis dit « Ca va jamais rentrer ! » » et nombre d’autres joyeusetés du même style.
Ca a lentement transformé l’émission en manifeste de la beauferie, les candidats pensant ensuite que parler de cul à tout va faisait kiffer l’audience (ce qui, à ma grande tristesse, est sûrement vrai).
Mention spéciale à la vieille salope qui à la question « Si vous étiez un animal, lequel seriez vous ? », à répondu : « Un sanglier, parce que c’est celui que tous les chasseurs veulent tirer »…
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Noël 2004, réveillons chez mes parents. 25 personnes au bas mot.
Mon homme et moi, sommes à table avec toute la famille, on est chauds comme la braise.
Vu que tout le monde est en extase devant notre petite fille d’un an qui est la star de la soirée, nous on en profite pour se chauffer à mort en se faisant du pied sous la table.
La ferveur chrétienne et le Sauterne aidant, je fais vite comprendre à l’Homme que si il veut son cadeau du petit Jésus, c’est maintenant, là, à l’étage, suismonregardchéri.
Donc mon jules qui est très vif d’esprit quand il s’agit de fellation inopinée se lève d’un bond et balbutie un truc du genre: « mmhh pardonnez-moi…ordinateur..bureau en haut.. consulter mes mails de toute urgence… lait sur le feu.. heu… »
De toute façon, tout le monde s’en fout et personne ne lui répond.
Quelques secondes plus tard, je me lève à mon tour et monte le rejoindre, sans m’embarrasser de trouver une excuse foireuse, de toute façon, je vous le rappelle, tout le monde s’en tamponne le coquillard.
Je retrouve mon mec dans la salle de bain et on se saute dessus, je me mets à genoux devant lui et m’échine à lui faire croire que Dieu existe (je vous rappelle que c’est Noel, quand-même). L’exitation est à son comble, quand tout à coup, mon amoureux semble entendre quelqu’un qui vient (il faut que je précise ici que la salle de bain de mes parents ne ferme pas à clé, lol comme on dit).
Complètement paniqué, il me chuchote dans un souffle: »Arrêteyaquelquunqui va entrerohmonDieujevaisjouiraaaAAAhhhhHhhhhhhh ».
Disons que le problème, c’est que:
1) Y’avait personne.
2) Je n’ai assimilé que la première partie de la phrase donc je me suis soudainement arrêté, j’ai ouvert des yeux de lapin pris dans les phares d’une Range Rover et je me suis figée de peur, la queue de Monsieur dans la main, braquée sur mon visage.
C’est précisement à ce moment que l’homme de ma vie m’a envoyé un jet de semence, directement dans mon oeil gauche grand ouvert, avec une pression digne d’un mini karcher.
Je vais vous apprendre ici que le sperme dans l’oeil, ça pique affreusement, ça brûle, ça fait voir tout flou.
J’ai hurlé en silence (sic), impossible d’ouvrir mon oeil blessé.
On a essayé de mettre sous l’eau, de frotter avec un gant de toilette mais quand enfin j’ai pu ouvrir mon oeil, on aurait dit que je m’étais pris un pain, le blanc était rouge et les paupières toutes gonflées. Sans compter que j’avais plus un gramme de maquillage sur une moitié de visage, ce qui me donnait l’air de Cinoque dans les Goonies.
Il a fallut qu’on essaye d’arrêter de rire comme des baleines, qu’on rassemble notre dignité, qu’on redescende manger le dessert au milieu de la famille, qu’on fasse semblant de découvrir en même temps que les autres que oui, incroyable, j’ai un oeil tout enflé, nan, je ne m’en était pas aperçu! Et qu’on reste stoïques quand ma tante a décrété que j’avais un orgelet foudroyant et a absolument voulu consciencieusement frotter sa bague contre mon oeil pendant trois plombes pour le faire disparaitre.
Depuis, j’ai toujours quelqu’un pour me demander si mon orgelet est revenu.
Je pense qu’une paires de menottes pourrait grandement contribuer à administrer au coupable la punition qu’il mérite depuis 6 longues années et qu’il n’a jamais eu.
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J’A-DO-RE !
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Perso, j’ai les deux yeux tout rouges… Je pleure de rire, je n’arrive plus à m’arrêter.
Merci. C’est rare que je rigole autant devant Internet.
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:D comme quoi, mon calvaire n’aura pas été vain, finalement.
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J’approuve tellement ce genre d’anecdotes.
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C’est vraiment intéressant ces tranches de vie (casse-dédi à Jean-Luc & YoosF). Me suis toujours demandé ce que cela faisait de se prendre du sperme dans l’œil. Maintenant que je suis fixée je vais proposer à mon mec le port du masque de plongée lors des pompini que je lui offre (l’italien est une langue follement romantique n’est-il pas?). Et puis ça lui rappellera the life aquatic.
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Je sais, je me répète… Mais pourquoi c’est pas en poudre bordel ?
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En même temps, de la poudre dans l’oeil à bout portant, ça doit douiller aussi.
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Toi, t’as jamais éternué sur une ligne de coke…
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surtout quand c’est sur la dernière, de ligne sa race.
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Je vois qu’on fréquentait les mêmes soirées…
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Cher VieuxFélin, depuis le temps que je lis ton blog, je me dois d’apporter ma petite contribution à ton concours (et puis j’ai toujours aimé les voyages, alors ce petit Lumpy…). J’aurais aimé te parler de ma meilleure expérience saphique, mais je ne peux la partager qu’avec toi… Ce sera donc la toute première que je vais te raconter.
On fêtait les 18 ans d’une copine, dans un vieil appart bourgeois du centre-ville, au cours d’une soirée arrosée au « champagne ». Moi, tout ce champagne, ça me tournait la tête… Parce que je n’avais pas l’habitude de biberonner du champ’ toute une soirée (je ne suis pas bourge, mais mon lycée l’était) et qu’en plus j’étais victime de mon atavisme (je suis bretonne !). Avec ma meilleure amie Anne-Victoire (tous les noms de ce récit ont été modifiés, vous comprendrez bientôt pourquoi, mais ce nom fictif va à ravir à cette petite blonde raffinée à la peau blanche et aux yeux de poupée), nous sifflons donc sans scrupules une quantité assez conséquente de champagne…
Au cours de la soirée, j’étais censée retrouver une autre copine dans un bar tout proche. Comme ça me saoûlait de quitter la fête, j’ai demandé à Anne-Victoire de m’accompagner. Alors que nous descendions lentement le vieil escalier en titubant sous l’effet conjugué de trois facteurs (champagne + marches datant de 300 ans + talons), la minuterie s’est éteinte et nous nous sommes retrouvées dans une obscurité complice.
Anne-Victoire m’a alors plaquée contre le mur et s’est mise à m’embrasser doucement, en me caressant les lèvres de sa langue. Surprise mais intriguée, je me suis laissé faire avec une certaine passivité. Ses baisers sont devenus de plus en plus goulus pendant qu’elle me caressait les seins. Elle m’a soufflé à l’oreille qu’elle les avait toujours trouvés beaux et qu’elle avait envie de les mordiller. Docile, j’ai remonté mon gilet… Tandis qu’elle me titillait les mamelons de sa langue, ses mains descendaient le long de mes jambes, remontaient sous ma jupe… et ont rencontré l’obstacle des collants (eh oui, à 18 ans, je n’avais pas encore adopté bas et Truc Up !).
Nous nous sommes assises sur les marches pour qu’elle puisse tirer sur le nylon, baisser ma culotte et me lécher… J’étais toujours aussi passive et pourtant j’adorais tout ce qu’elle me faisait. Simplement, j’avais l’impression d’être son sex toy, et ça me plaisait. Tout comme le fait que l’on puisse nous surprendre à tout moment.
Et c’est bien sûr ce qui s’est produit. Une porte a claqué, la lumière s’est rallumée. Dur de reprendre ses esprits en plein milieu de mon premier cunni ! Je me suis rhabillée à la va-vite juste avant qu’une femme ne nous dépasse dans les escaliers en nous dévisageant. Après coup, je l’ai comprise : les joues rouges, la jupe de travers et les collants à moitié tirebouchonnés… On ne laissait pas trop de doutes sur nos jeux dans le noir…
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et là faurait me réanimer un peu, merci
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Je crois que le samu m’emmène dans le même hôpital que toi, à vérifier.
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alalala ça vous kiffez l’experience goudou chez la jeune fille en fleur
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Mais oui, comment ils en peuvent plus…
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Au fait VF :
– ai-je loupé un top 5 ou 10 sur la littérature érotique ?
– pourras-tu nous en dire plus sur cette histoire de prix remis par Kusturica ???
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Euh non mais je peux déjà te conseiller Les Onze Milles Verges. Mais sans doute l’as-tu déjà lu?
Cette histoire de prix avec Kusturica… J’avais dix-onze ans, un truc comme ça… Je ne m’en souviens pas bien. On avait visionné « Papa est en voyage d’affaire », j’en ai gardé aucun souvenir. Et le prix, c’étaient des bouquins.
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Mais ouais mais grave, vous déconnez ou quoi ?
Elle nous explique qu’elle s’est fait lécher dans un escalier par une marie-victoire avec une tête de poupée, y’a les mots « docile » et « sex toy » dans le meme commentaire, direct on devient liquide.
Du coup ceci était parfaitement d’actualité aujourd’hui
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Merci Antoine, j’osais pas faire la remarque…
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Promis, il n’y a pas que les mecs qui trouvent ça magnifique… Piou, ça me rappelle des trucs… ^^
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J’étais y’a pas deux secondes en train de me dire que, ici et ailleurs, dans plein d’ailleurs différents, j’entends plein de nanas qui se revendiquent hétéros me dirent que leur meilleure expérience, celle où elles ont le plus pris leur pied, c’était avec une nana…
Hier encore j’ai appris d’une amie (qui fantasme tellement sur les mecs que je n’y aurais jamais pensé !) qu’elle serait tout à fait ouverte à une relation avec une nana, et pas juste quelques galipettes, quoi…
Du coup je ne sais plus trop quoi penser. Les gars, je sais que certains d’entre vous sont merveilleux (même si je n’en ai pas rencontrés beaucoup dans ma vie ), mais je ne peux pas m’empêcher de me questionner…
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(Et là tu dois penser : Pour une fois que je leur demande de me raconter leur vie, y en a pas un pour (se) mouiller…)
Je suis nouvelle mais là je me lance, putain merde quoi c’est mon terrain, bordel à queue. Non mais.
Septembre 2009. Flanquée d’une bande de poteaux vautrés dans d’éméchitude la plus absolue, je finis la soirée dans une vieille boîte rock, mais néanmoins inexplicablement populaire. Roulage de patins à tous les étages. C’est la fête de la dragouille et du pelotage. L’été se termine mais pas la chaleur, attends t’as cru quoi toi. PG1 (Petit Gazou 1) s’approche et me galoche. Mmm sympa, c’est doux, c’est sucré. On discute, on rit, on se présente (j’ai toujours eu un petit problème dans l’ordre des priorités). Ann – PG1, PG1-Ann. On se re-galoche ? Mmmm sympa, mais c’est pas un peu TROP doux ? On parle, on s’embrasse, on danse, on s’embrasse, sa moustache me pique. Mmmm sympa, mais c’est pas un peu TROP sucré ?
Tilt. Ouh putain mais bravo. Re-Tilt. Je regarde tour à tour à tour à tour à tour les copains de PG1 : PG2 et PG3. PG2 est musclé, le torse bombé, la chemise légèrement entrouverte, la chaine en or qui brille, la barbe naissante et le cheveu gras. PG3 est un petit minet avec les cheveux plaqués en arrière, le regard faussement dur et ténébreux. Et ça cocotte le mâle.
Putain la bande des PG sont des femmes. Enfin non. Des F-to-M.
Je les ai embrassé(e)s tou(te)s les 3 en leur disant qu’elles(ils) étaient vraiment trop fort(e)s. Chapeau. Trop la classe.
Je les laissai ainsi au sort d’un de mes potes (gay) qui n’avait encore rien calculé, mais qui était très intéressé.
Et moi je me suis mise à penser que j’aurais bien pu finir ma soirée genre mauvais remake de « The Crying Game » version sans bite et sans terroriste. Ou dans un roman d’Armistead Maupin.
Et puis me suis remise à danser.
Et la soirée ne s’est évidemment pas terminée là…
Je joue pour le lot nº2.
Merci et bonne nuit.
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(Et là tu dois penser : Pour une fois que je leur demande de me raconter leur vie, y en a pas un pour (se) mouiller…) C’est exactement ce que je me dis, heureusement qu’il y a quelques courageux. Je m’étais promis de ne pas divulguer mes histoires sales mais ton commentaire (le côté sucré, trop sucré du mec) m’a rappelé un évènement que j’avais complètement zappé.
J’avais 19 ans, je venais d’avoir les clés de mon premier chez moi, boulevard de Charonne. Un petit studio avec juste une banquette BZ, livrée le jour même par des gars musclés.
Le soir, je dîne avec mon cousin et quelques uns de ses amis dans un restau basque. Comme d’habitude, j’étais complètement schlass avant même d’avoir passé la commande. On dîne. Y’en avait deux qui me plaisaient dans le lot. Un mec qui est tjs dans mes contacts FB et un autre, dont j’ai jamais plus eu de nouvelles qui était étudiant à Boule. Et tu vas comprendre pourquoi j’ai plus jamais eu de nouvelles.
Donc, schlass comme j’étais et saoulée par la liberté que m’offrait mon-premier-appart-à-moi-bordel, je leur propose très sobrement « ça vous dit qu’on aille baiser chez moi? » OK
Bah oui, ok, je déglinguais à 19 ans.
On arrive. Problème: quand je dis qu’il y avait qu’une banquette BZ chez moi, c’est qu’il y avait rien d’autre, donc pas de capotes. Je les envoie en chercher, ça et une bouteille de whisky. Comme si j’avais besoin d’être encore plus ronde. Bref, ils reviennent, A (contacts Facebook) jette l’équivalent de 25 capotes en l’air et B (l’autre, putain je ne me souviens même plus de son prénom) portait le Label 5. On boit, on se fout à poil, on rigole bien. Je note toutefois que A se débrouille nettement mieux que B, qui était trop sucre, trop doux, trop tendre. Comme si ce qu’on était en train de faire avait quoique ce soit à voir « les sentiments » « la tendresse » etc… J’allais de l’un à l’autre à égale mesure mais petit à petit, je restais de plus en plus longtemps avec A. Et au bout d’un moment, j’ai dit haut et clair, alors que je croyais chuchoter: « A, dit à B d’arrêter ce qu’il fait là, ça m’énerve, il s’y prend comme un manche! » B a été très vexé et ne s’est plus manifesté de la nuit. Le matin quand j’ai ouvert péniblement les yeux, A(qui était le seul à bosser) était déjà parti non sans me laisser son 06 et je me retrouvais avec B (Julien? Ah non, Nicolas!) à se regarder en chiens de faïence, sans savoir quoi se dire. Un des plus gigantesques moments de solitude de l’histoire des lendemains de cuite. On a pris le métro ensemble, il m’a quand même laissé son tel et je t’avoue que ça m’a laissé perplexe. Je l’ai jamais rappelé. A en revanche…
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Je me console de ne pas avoir croisé cette jeune tigresse là en me disant que je croiserai peut être un jour le vieux félin, femme et mère, qu’elle est devenue.
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T’as oublié respectable après femme et mère, mais va je ne te hais point.
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Je ne savais pas quoi te raconter, comme histoire… Et puis voilà, « sucré », ça tombait bien, ça m’est arrivé :
Vendredi dernier… Grosse soirée…
Avec mon ami S. on fait les ânes, on se marre, on picole, beaucoup, on s’envoie deux trois autres trucs pas très catho dans le gosier…
Beaucoup plus tard, rappelé à l’ordre par ma vessie, je file, *je titube, en fait* jusqu’aux toilettes pour hommes. Un peu pour ma vessie, beaucoup pour jouer les voyeurs… *ne me juge pas je te prie*
Bonne surprise, sont installés dans les latrines, non pas des urinoirs individuels (ben oui, parce qu’auquel cas, pour jouer les voyeurs, faut aussi être un peu équilibriste et surtout c’est pas très discret… attendu que ton camarade d’à côté, il peut le prendre mal…), mais une espèce de grand bac au sol qui ressemble un peu à une mangeoire pour canassons – ça a sans doute un nom, mais là… je vois pas –
Je m’installe donc en me disant : Chouette !! Je vais faire d’une pierre deux coups, soulager mon envie pressante, et mater tout mon saoul ! Qui sait, une de mes victimes souhaitera peut-être que j’y donne un coup de main * t’emballe pas coco, pisser avec une érection = mauvaise idée*
Mais là… moultes substances et heure tardive aidant, j’ai du perdre un peu pied. Tu sais ? Je me suis retrouvé dans cet état étrange, semi-conscient. J’étais bien. Mais pas tout à fait là non plus.
Quand j’ai repris mes esprits (en fait, seulement quelques secondes plus tard), j’ai baissé les yeux pour voir où j’en étais. Et là, oh surprise ! Penché les mains en coupe juste sous sa bouche grande ouverte, un individu plutôt joli était en train de se désaltérer goulûment directement « à la source »…
Un peu secoué, j’ai juste été capable de balbutier un vague : « bonsoir ». Celui-ci de me répondre en se relevant : « Non… trop sucré. Bonne soirée quand même »…
Laisse-moi te dire que je faisais moins le malin…
*les menottes ont l’air chouettes*
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ah ouais, quand meme.
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Ah, qu’est-ce que je disais ?
Bon, après c’était des F-to-M décidés et sûrs d’eux, ou des nanas qui avaient envie de s’habiller en mecs pour la soirée ? Dans le premier cas, alors il vaut mieux parler d’eux au masculin. Le contraire peut faire mal.
Chouette expérience, en tout cas ! Si tous les mecs étaient comme ça je serai peut être hétéro… (bon, ok, ça enlèverait pas mal de piment à la chose…)
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Alors soit. Une petite histoire WTF pour la route, où l’on apprend que j’ai été innocent.
Cette jeune fille dont j’ai oublié le prénom et que j’avais rencontrée dans des circonstances aussi anodines qu’inintéressantes m’avait invité chez elle, un après-midi. J’avais environ 23ans, voyager ne me faisait pas peur à cette époque, je n’ai pas hésité à traverser Paris pour me rendre en banlieue nord dans le but avoué de l’estampiller. J’arrive, petit pavillon propret, ding-dong, elle ouvre, sa rousseur n’a d’égal que le manque d’harmonie de son visage, j’avais oublié. Elle m’entraîne à l’étage dans sa chambre. Je constate beaucoup trop de rose à mon goût et une montagne de peluches. Stoïque, ne laissant rien paraître, j’essaie de me rappeler si à un moment elle m’a dit son âge ainsi que les peines encourues pour détournement de mineure.
Des détails que tout cela, d’ailleurs ils s’effacent bien vite quand elle fait passer sa robe au dessus de sa tête pour dévoiler un ensemble bas plus bustier à rubans. Je me convainc qu’elle a 18 ans, sans trop de problèmes, j’aime bien les rubans.
« Tiens t’es pas une vraie rousse »
» Si. »
Mes yeux passent de ses cheveux à son petit potager secret, et malgré sa mauvaise foi évidente je lâche un conciliant « ok je te crois ».
Sur ces entrefaits elle se met en levrette sur le lit. Moi j’ai toujours pas retiré mon blouson. Elle me demande « Tu me trouves bonne? » Je suis conciliant comme garçon je l’ai déjà dit. « euh oui oui » tout en me débarrassant aussi vite que possible de mes vêtements superflus sans me casser la gueule sur hellokitty. « Alors dis-le, j’adore qu’on me le dise » » euh, t’es bonne? » « plus fort! » « mais euh j’ai encore rien fait là » « dis-le plus fort! » « oh… »
J’étais en gros WTF intérieur comme ça doit pouvoir se sentir. Pour palier à mon malaise je décide de l’entreprendre, puisqu’elle garde la pose je zappe les préliminaires, le « t’es bonne » me paraît déjà bien suffisant (gentleman avant tout). S’ensuit quelques heures (bon minutes) de sexe ma foi curieux pour le jeune loup fougueux que j’étais. Elle n’arrêtait pas de crier des trucs genre « oh putain je la sens bien là » « tire-moi les cheveux! » » plus fort putain! » .
Jusqu’à un moment où les hasards du kama sutra nous mirent face à face, qu’elle planta son regard dans le mien et qu’elle lâcha un fatidique « gifle-moi ».
Je ne suis pas l’homme le plus costaud du monde mais il est sûr que je ne sais pas frapper, si je la gifle je peux par mégarde lui arracher un oeil ou lui casser le nez.
Et puis bon je suis pas violent. Donc je continue à m’échiner en faisant celui qui est très absorbé et qui n’a rien entendu. Elle récidive » Gifle-moi! vas-y ». « euh non j’aime pas faire mal ». Et là idée lumineuse. transformation, on se remet en levrette que j’agrémente d’une fessée. Ça eut l’air de calmer ses envies de coups.
Après mélange de fluides, le « charme » était rompu, elle m’a fermement mis à la porte visiblement déçue par mon manque de violence, et prétextant qu’elle aurait préféré un vrai mec. A quoi j’ai répondu « et moi une jolie fille, on a tous les deux pas eu de bol ».
J’ai plus jamais entendu parlé d’elle et je ne me souviens toujours pas de son prénom.
Je précise que cette histoire est hors concours. Je veux un bisou de vieux félin si je gagne quand même.
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c’est pour ça que t’es devenu rouquemoutophobe ?
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Tu noteras quand même que j’avais fait l’effort d’aller la déglinguer malgré sa rousseur. Et puis bon elle l’était pas vraiment vraiment malgré ses dires.
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D’ailleurs Pasta je me demande un truc. Tu faisais quoi y’a 3-4 ans environ? Tu aimes les coups pendant le sexe? Et HelloKitty? Et les rubans?
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laisse béton c’est pas moi.
moi, je suis bonne et je suis une vraie rousse.
en plus, mon truc, c’est les trav’.
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hum hum
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Tiens tiens…
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J’avais manqué cette histoire du Velu.
J’imagine bien le malaise, même si le contraste rubans/hello Kitty et SM est original.
Mais, dis moi, que provoque chez toi la vision d’une trousse « Hello Kity » au rayon papeterie du Carrefour ?
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Pas grand chose, par contre si elle est agrémentée de rubans je perds toute contenance.
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Et pendant ce temps, sur FB, on se marre, genre vachement…
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Ce qui me chagrine, moi, c’est la virginité de certains.
Du coup, ils partent avec un handicap.
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C’est une incitation à s’inscrire sur le trombinoscope ?
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j’avais même pas percuté, ce thread me rend complètement con (cad plus que d’habitude)
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putain t’avais l’occasion de démater une roquemoute à peu de frais, y’a des gens qui payent pour ça Velu, t’as déconné.
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Pour rouquemoutitude le tarot c’est bûcher. Et j’avais pas de briquet.
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C’est dommage que cette histoire sois hors-concours parce que tu défonces tout là Le Velu (si je puis m’exprimer ainsi).
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Tais-toi, tu es le diable.
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Cher Vieux Félin,
Je ne suis pas un habitué de ton blog, à vrai dire je ne savais même pas qu’il existait avant-hier ! Mais je voulais te remercier. Grâce à toi, j’ai passé un très bon moment…
Je faisais semblant de lire au lit en attendant désespérément ma copine, espérant que madame soit dans de bonnes dispositions pour soulager cette crampe du bas du ventre caractéristique du gars qui a une très grosse envie de n… Bref, je commençais à ne plus trop croire à sa venue et je me résignais à éteindre ma lumière lorsqu’elle est venue me dire : « J’arrive, je finis juste un truc ! » Elle avait (disons-le franchement) ce petit air de cochonne salace qui sous-entend : « Patiente mon gars, tu ne vas pas le regretter ». Je sentais déjà un début d’érection arriver.
Ensuite, elle m’a fait lire un commentaire qu’elle voulait poster sur un blog et là… Quelle surprise de découvrir que ma blanche hermine s’était lancée dans le récit coquin d’une histoire lesbienne de son adolescence. Cette histoire, que je connaissais déjà dans les grandes lignes, ne m’avait jamais été livrée avec les détails ! Je suis allée la retrouver dans la salle de bain où elle se lavait les dents et j’ai glissé une main dans sa culotte. Elle était trempée cette cochonne ! Elle mouillait grave de repenser à cette histoire. Dans notre chambre, elle s’est allongée au bord du lit et j’ai commencé à lui embrasser les seins, la caresser et la lécher. Rapidement, elle s’est caressée et j’ai senti que même si je n’étais pas là, elle se ferait une sacré branlette. J’ai donc retiré ma langue de son minou et suis remonté lui mordiller les seins. J’ai vu à son expression qu’elle n’était pas avec moi, mais qu’elle était replongée bien loin dans une autre histoire, et pas avec un homme. J’ai commencé à frotter ma grosse verge (c’est vrai, elle pourra confirmer pour la taille) à l’entrée de son vagin et sur son clito. Elle était vraiment super excitée (j’avais juste peur qu’elle réveille notre boulet de gamin) et m’a bloqué entre ses jambes pour que je la pénètre. Pour terminer, elle s’est mise à quatre pattes pour que je la prenne en levrette.
Merci à toi Vieux Félin, ça valait le coup d’attendre ! Seul problème : j’avais pas vraiment la tête au boulot today !
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Mais de rien! Par contre je crois que tu as brisé le rêve de deux-trois gars qui fondaient bcp d’espoir dans le célibat d’Hermine…
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On a le droit de voter ?
Non parce que j’aimais pas Noël depuis que mon grand-père maternel s’est pendu un 25 décembre et que ma mère a décidé que, pour ma sœur et moi, toutes les fêtes de fin d’année de notre vie – et même après – seraient l’équivalent de l’enfer sur terre. Mais là, je dois avouer que le savoureux (si j’ose dire…) récit de « toi-même-tu-sais » m’a rendu cette fête débile presque sympathique.
On se la relit tous les soirs avec mon Pute à moi et on rit, beaucoup.
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C’est vrai que c’est très drôle.
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Au début, je voulais te raconter Bounty.
Bounty m’a foutu la frousse. Que je t’explique, j’étais pas très vieux, j’étais dans une bagnole de papa conduite par un vieux tapin dégueux mais sympatoche, qui s’était déjà occupé d’un de mes potes, le troisième attendant son tour un peu plus loin. Donc madame m’avait rejoint dans un mouvement tout à fait félin pour quelqu’un de sa corpulence sur le siège arrière, avait dégainé un nichon trèeeeees vilain « pour [m]’exciter », ce qui ne marchait pas. Elle me mâchouillait le machin en faisant du bruit, j’essayais de penser à plein de trucs encore plus dirty sans succès, la nuque calée contre l’appui tête et le regard vissé sur les petits rideaux qu’elle avait apposé sur les vitres latérales, quand un putain de petit clébard immonde du genre caniche a jaillit du fond de la plage arrière en aboyant, c’est à dire à quelques centimètres de ma tête occupée. Je suis décédé de peur, elle a retiré sa bouche de vieille murène pour brailler « BOUNTY CA SUFFIT, pas quand maman travaille ou je te laisse à la maison ». Re-décés, donc.
On n’a pas conclu, du coup, on s’est serré la main, j’ai tapoté la tête de cette petite merde de bounty and ciao.
Mais en vrai ma petite histoire pour toi Vieux Félin est beaucoup plus mignonne.
J’étais pas très vieux non plus, je vivais (peu) et couchais (pas mal) avec une rouquemoute pur jus (et ouais Pasta), de 4 ans mon aînée, qui avait des penchant très prononcés pour l’exhibition ce qui nous conduisait à nous produire dans plein d’endroits ou la probabilité de se faire gauler était élevée.
Donc, aprem à la fac. Mademoiselle qui attend devant la porte la fin de mon TD (pour flatter mes instincts de bébé-male devant mes petits copains, rapport à son age). Tout le monde s’en va, elle me pousse dans la pièce, me fait comprendre que c’est tout de suite et maintenant qu’il faut être un bonhomme. Deux trois chaudasseries plus loin je suis assis sur la chaise du prof (près du tableau donc), elle a viré son pantalon et s’est assise sur moi, on est méchamment connecté, genre caravane et CX sur la route des vacances (et là je me dis qu’il y’a peut être des gens qui ne savent même pas ce qu’est une CX, le monde est foutu).
La porte s’ouvre sur une caricature de prof : veste en tweed, bide, pull rouge, lunettes. On ne bouge plus, je lui souris en y mettant beaucoup du mien pour qu’il comprenne que ces dents blanches veulent dire casse toi. Mais c’est l’époque ou les profs me comprennent peu. Il me rend mon sourire, traverse la pièce, nous frôle, et commence à écrire le programme de son cour au tableau, soit dans mon dos, soit à mois de 20 cm de nous, et nous dit « vous pouvez continuer et finir ce que vous étiez en train de faire cela ne me dérange pas ».
On est resté planté là, c’est le cas de le dire, comme deux cons pendant 2 mn, puis je lui ai dit tant pis, elle s’est levée, il a maté son cul, on s’est arraché.
Comme ça. Je t’ai dit que j’étais pas très vieux. Je perçois aujourd’hui la perversité de la situation, ce que nous aurions pu en faire, prendre cette énergie érotique et la consommer, ou la transformer en violence en lui foutant sur la gueule, ou en lui proposant de prendre son tour. Mais bon, c’était les 90s, on était pas aussi coolos qu’aujourd’hui faut croire, et je n’avais pas encore ouvert toutes les petites portes sales qui font de ma tête un endroit malfamé.
bekos et shana tova.
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Bounty, putain, je m’en remets pas !
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Et moi donc…
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Bounty t’a pété les Nuts et m’a envoyé sur Mars.
[cette blague vous est offerte par votre boulangère pour l’achat de 3 Balisto]
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Donc Nora possède un chien qui s’appelle Bounty?
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Vélu t’auras surtout noté que toi et moi avons raconté des histoires avec une rouquine. quand meme.
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De partout, de sous terre, on ne sait pas d’où elles viennent!
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yes! je tiens le titre de mon premier roman « Des rouquines et des gouines »
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mieux! « Des rouquines et des gouines et des youpines »
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Ca me plait !
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Il est mort depuis.
(nan mais sérieux, pourquoi on m’implique dès qu’il y a une histoire avec un vagin tarifé?)
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parce que l’internet est un endroit où les gens sont très méchants et plein de cynisme mal placé.
(lu sur facebook)
(Promis moi j’arrête)
([enfin j’essaie, quoi])
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(La propriétaire originale du pseudo me pardonnera cet emprunt honteux. Enfin j’espère).
16-17 ans, une bande de potes tennisman qui boivent quand ils ne jouent pas, et c’est à celle qui s’en tapera le plus (je vous rassure de suite, j’ai gagné, hein).
Un soir, diner à 4 dans la baraque de l’un deux. Ma copine s’échappe avec son grand blond, et je me retrouve avec le petit brun.
Ni une ni deux, on finit au lit. De bisous baveux en caresses hésitantes (ouais, bah, j’avais 17 ans quoi!), voilà-t-y-pas que je me retrouve à poil, avec le jeune homme sur moi. Bon, bah, on y va alors. Laborieux, chiant (j’ai eu le temps de dresser l’arbre généalogique de Marie-Antoinette), je simule quand même un peu histoire qu’il accélère.
Et là notre héros, s’extirpe élégamment (ou pas) de mon moi-même, s’allonge sur le dos, le sexe tout en érection et me dit…. »Vas-y, fais toi plaisir ».
…..
J’ai pris mes fringues et mon fou rire, et je lui ai conseillé de se finir tout seul.
Étrangement, il a pas rappelé.
(Lot 2, m’dame)
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Mouahahahaha
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Bon allez, à moi.
Un jour, je me suis fait sucer.
Je choisis le lot numéro 2, j’en aurais besoin rapidement parce que j’ai 2h30 de train ce soir et apparemment c’est fait pour.
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Bon allez, puisque personne ne joue pour le Gyro Bonners et que VF commence à faire la gueule, je vais vous raconter mon plus gros fail (parce que le reste, ça ne regarde que moi et ma bite).
Donc :
Septembre 2009, je viens d’emménager dans un putain d’appart’ de la mort qui tue avec 2 bonnasses (que j’ai eu le plaisir de reluquer dans toutes sortes de tenues tout le reste de l’année, et ce même à travers les serrures). Soirée de pendaison de crémaillère dans un 100m2 à peine meublé (j’entends par là: « y’a des poufs dans le salon et des matelas pliants dans les chambres, au cas ou tu niques »). Mes 2 adorables colocs ramènent leurs copines, et le à flot, et des substances illicites jonchent l’ungros clébard que je suis avait enfilé sa plus belle chemise et se met immédiatement en chasse au minou. On a de l’espace pour danser et se chauffer, l’alcool couleique table de l’appartement.
Après m’être fait refoulé par les pouffiasses de la fac de Droit, je réussis à pécho discrètement la meilleure copine de ma coloc en la plaquant contre le mur du couloir (très long couloir, on pouvait y être tranquille). Elle devait aller dormir chez sa soeur, puisqu’elle reprenait le conservatoire quelques jours plus tard et il fallait ABSOLUMENT qu’elle pratique un peu son violoncelle le lendemain, et que de toutes façons y’avait pas de couvertures dans ma piaule. Etant encore en cours de déménagement, je réussis à la baratiner pour rester si je vais chercher des couvertures dans mon autre appartement (situé à quelques rues de l’actuel). L’alcool et la douceur de mes mains sous son chemisier finissent par la motiver à passer la nuit là, et même à m’aider à porter les couvertures d’un appart’ à l’autre (parce que bon, 200m c’est long et des couvertures c’est super lourd t’as vu).
J’étais chaud comme un couscous, et dans ma tête se baladaient des pensées du genre « Toi ma pauvre… » ou bien « Tu vas charger ». Je l’emmène donc vers cet appartement, tout excité d’aller tirer un coup dans ma garçonnière. Après avoir ri au clin d’oeil complice du videur de la boite voisine à mon appartement qui avait facilement deviné la suite des évènements, nous nous arrêtons deux rues plus loin, sous un lampadaire, ou je commence à l’embrasser goulûment. L’excitation est à son comble : on est dehors, il n’est pas si tard que ça, il y a encore quelques passants et nos mains se perdent un peu partout. Humidité, érection, la fin de soirée s’annonce pas mal. « Allez viens, on va chez moi »…
Soudain, le drame : en fouillant mes poches, je m’aperçois avec horreur que j’avais oublié les clefs de l’appartement…
-« Bon, ben je te laisse y retourner tout seul hein… »
Elle a quand même dormi avec moi. Mais malgré mes essais je suis tout de même resté sur la béquille…
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Tu feras quand même attention à tes copier-coller on comprend pas tout dans la partie « je suis un gros clébard sur la table basse avec une bouteille de schnapps à la main »
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Ah merde. Pourtant j’ai pas fait de copier-coller. Mais mon net buggé à l’envoi, ça vient ptèt de là. Ou alors j’ai fait une mauvaise manip…
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La phrase correcte était :
« Mes 2 adorables colocs ramènent leurs copines, et le gros clébard que je suis avait enfilé sa plus belle chemise et se met immédiatement en chasse au minou.On a de l’espace pour danser et se chauffer, l’alcool coule à flot, et des substances illicites jonchent l’unique table de l’appartement. «
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Bon. Puisque j’ai plein de choses urgentes à faire au plus vite, j’ai décidé de poser ma petite pierre à ton édifice cochon.
Honnêtement j’ai pas trop d’histoires incongrues à raconter, je te livre donc quelques fameuses foirades de mon cru (enfin, de leur cru, moi je suis toujours parfaite)
Il y a par exemple ce jeune homme, que je convoitais depuis longtemps. Un soir où j’allais chercher des substances illicites chez lui (je suis très vilaine je sais) sans aucune autre arrière pensée (mais néanmoins affublée d’une jupe crayon révélant tout le potentiel de mon arrière-train) je découvre au fond de son œil une étincelle coquine. Je décide donc de rester un peu plus longtemps que prévu, juste pour voir. On se met donc à parler de tout et de rien en fumant un pétard. Très vite, la discussion mène à un film, le film à du sérieux roulage de pelle, le roulage de pelle à ce que j’ai pu faire étant donné la présence de mes petites anglaises.
Je rentre chez moi cette nuit là, bien décidée à revenir peu après, histoire de finir ce que j’avais commencé.
Quelques jours plus tard, je le rejoins après un apéro bien entamé. Bien éméchée donc, et pas vraiment à l’aise. Il faut savoir que ma timidité combinée à une situation qui m’embarrasse me mène systématiquement à me transformer en poissonnière lubrique.
Au bout de quelques minutes de discussion je l’enjoins donc à se rapprocher de moi agrémentant ma proposition de mon plus beau sourire pervers.
Visiblement, il a peur. Il me demande ce que je veux et je ris tellement ça me semble évident. Il est drôle, lui queutard de première, en petit garçon effrayé. On en vient finalement à se retrouver tout nus . Mais, décidemment c’est pas mon jour, sa bête n’y est pas, le lion reste dans sa cage, le totem n’est pas érigé, bref il n’arrive pas à bander. Jusqu’ici, rien d’exceptionnel (vous en conviendrez Mesdames).
Seulement, lui le prend mal
Tellement mal qu’après le classique blâmage de capote j’ai eu le droit à : en fait, j’aime pas les blondes (je suis très blonde), j’ai pas l’habitude que ça se passe comme ça, c’est parce qu’on est pote ça me bloque (on se voyait une fois tous les deux mois en soirée),et puis finalement il en vient à me dire qu’il a une meuf et puis que pet-être que je lui plais pas tellement…
Il est allé tellement loin dans la goujaterie que j’ai fini par me marrer comme une baleine. Bizarrement, je n’étais plus du tout mal à l’aise, on a fini par se marrer tous les deux, moi, me foutant de sa gueule (rapport à sa goujaterie, pas à sa mollesse, je ne suis pas si cruelle), et lui, tout penaud, essayant de se défendre malgré tout.
Comme quoi il en faut peu pour transformer un fiasco sexuel potentiellement sabreur d’égo en une soirée à laquelle on repense des larmes de rire au coin des yeux.
Sinon, dans la même famille, j’ai une droit à la meilleure des phrases d’excuse : « ça me fait tellement halluciner que je ne suis même pas désolé. »
Beau comme du Verlaine.
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ah oui et je joue pour le mini vibro, le lot 2.
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avec ou sans chapka ? merci de préciser, bordel [message subliminal]
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Ah mais oui mais c’est pour ça qu’il a eu peur. suis je bête.
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bon sinon je voulais dire que j’avais JAMAIS eu de sextoy.
j’dis ça, j’dis rien.
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GENRE
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Ok. Alors on va dire que j’ai jamais eu de sextoy non humain.
chti jure cé vré
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Bien que le concours soit terminée, je ne peux résister au plaisir de l’exhibition, parce que je suis par ailleurs parfaitement équipée.
Bref. Un été, on revient d’une soirée mon mec de l’époque et moi.
On s’arrête pour pisser dru sur l’aire de repos de N. Quand je remonte en voiture, mon mec a le braquemart dehors. Soit, on est coutumiers du fait, on y va gaiement. A un moment je me sens un peu à l’étroit sur le siège avant de la Twingo et aussi dans mes vêtements alors, il me vient l’idée étrange de faire un striptease sur le parking et de me faire prendre complètement nue sur le capot.
On est exhib ou on ne l’est aps, d’ailleurs pendant environ 10mn on n’était pas exhibs puisqu’on était seuls.
1mn plus tard, alors que monsieur, surexcité allait aboutir à grand rah, la maréchaussée débarque, tous gyrophares dehors. On se fait joyeusement coffrer pour attentat à la pudeur, et c’est au moment de relever les identités que… c’est le drame.
« Vous êtes la petite D ? La fille du Major D, commandant de la bridage de O ?
– Heurfleufleufleu beeeh oui.
– Ha bah moi je suis embêté j’ai déjà diffusé vos identités sur le réseau intra gendarmerie.
Aka ton père qui est de planton devant son ordinateur sait maintenant ce que tu as fais. Tua s pris, et tu vas reprendre cher.
Voilà on est un peu con quand on est enfant de gendarme on se croit au dessus des lois et tout.
Le pire c’est que ça m’a pas servi de leçon il m’est arrivé sensiblement la même chose l’été dernier avec la police municipale.
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Tu couches avec la municipale sur des capots de twingo ???????????
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