Parfois, l’existence de merde dans laquelle tu te débats t’offre l’occasion peu commune de créer ta propre comédie romantique, c’est certain. C’est des coups à devenir parano tellement t’as l’impression que ta vie est subitement dirigée par Woody Allen, les évènements te paraissent couler d’un scénario pondu par un génie hollywoodien et tu te réveilles chaque matin en imaginant le son de ces trois mots : silence, moteur, action.
À l’époque où je travaillais chez Hafid, un peu avant l’avènement de l’Ere Pute Ier, j’étais un jeune tapin en mal de romance et ivre de liberté. Je vivais avec une colocataire psychotique et toxicomane qui partageait ma passion pour Nick Cave, Sioux and the Banshees et Patti Smith et ensemble, nous vivions un quotidien rythmé par de très sérieuses défonces et beaucoup de moments de gêne. Les meilleures années de ma vie, ok ? Bref, je disais quoi ? Oui. Mon studio donnait sur un boulevard qui accueille un marché les mercredi et samedi, un marché que je traversais en long, en large et en travers. Un marché sur lequel j’ai rencontré J.
C’était à l’aube de l’été, je rentrais à pied d’un shooting pour Entrevue, un projet de calendrier qui HEUREUSEMENT n’a jamais vu le jour, surexcitée par la « vitamine C très efficace tu vas voir c’est T-O-P » que m’avait filé cette folle furieuse de Mallaury Nataf, pour qui le projet avait été initié. Du coup, j’avais l’impression de flotter sur ce boulevard à l’éclat trop louche pour être honnête. J tenait le stand de livres d’occasion de ses parents le samedi, il gérait le parc informatique du Wall Street Institute la semaine. Comme dans les films américains, nos regards se sont croisés au dessus d’un exemplaire des Grandes Espérances de Charles Dickens (absolument).
Ce qui m’a plu chez lui, c’est l’effet donné par la combinaison de ses cheveux incroyablement soyeux (la coupe Charmant dans Shrek 2 s’en approche vachement), le désuet séduisant de Dickens et cette drogue quelconque que j’avais ingurgité croyant sur parole une connasse qui n’a jamais buzzé que sur une absence de culotte.
Inexplicablement, l’une des premières choses qu’il m’ait dit c’est « J’ai quelqu’un » comme pour s’excuser. Ça a duré plusieurs mois, une fois par semaine, des livres et des regards et des sourires et la vie qui passe. Chiant, oui. Bref. Un samedi de novembre, ses regards et ses sourires sont plus appuyés quand il « s’occupe de moi », il me dit qu’il arrête le marché de Charonne la semaine prochaine et me propose de faire connaissance samedi avant de partir, au café juste là.
Le samedi suivant, je suis debout aux aurores et tourne comme lion en cage dans mes 25 m² insalubres, mon portable sonne et je vois que c’est Hafid.
« Je suis en double file. Descends deux secondes, faut que tu me rendes un service. » Trois minutes plus tard, j’essaie de sauter de l’Express en marche en hurlant à l’aide. Le truc de cet engin du diable étant que tu peux y entrer mais jamais en sortir seule, death trap from Kabylie.
H : Bon tais-toi, tu viens chez Métro faire les courses avec moi, discute pas.
VF : Putain j’en étais sûre !!! Mais je peux paaaaaas, j’ai un rdv hyper importaaaaaaant ! Je te préviens, t’as pas intérêt à prendre cette connerie de périphérique… Bordel de merde ! Laisse-moi descendre tout-de-suite, sale égorgeur de chèvres !
H: Balaafoumouk.
Quand j’ai enfin pu rentrer chez moi, je vouais à mon patron une haine froide et appliquée, le marché avait disparu, plus de traces de J.
Pendant des mois encore, je pensais à lui en marchant sur le boulevard, persuadée d’être passée à côté de l’histoire de ma vie. Ma colocataire psychotique et toxicomane, dans un de ses rares moments de lucidité, m’avait conseillé, n’ayant rien à perdre, d’appeler Wall Street Institute (seul élément que je possédais sur mon vendeur de livres.) Les mois ont passés jusqu’à ce que je me décide à prendre mon téléphone.
– Ah, je suis désolée. Il vient nous de quitter. me dit la voix dans le combiné.
– Il est… MORT !?!
– Non, voyons ! Il vient de démissionner.
– Vous pouvez me transmettre ses coordonnées ?
– Nan.
– Son nom de famille au moins, putain !
– Vous me faites flipper, je vais raccrocher maintenant. Au…
– Attendez ! Prenez au moins les miennes, pour les lui transmettre au cas où vous le reverriez.
Quelques minutes plus tard, complètement faites, ma roomate et moi devisions sur le thème « La vie, cette grosse truie violette » quand mon portable a sonné sur un numéro inconnu. Au bout du fil J. et c’est là que ma colocataire a vomi de jalousie sur ma romance aux neufs Oscars.
« Vous êtes tellement adorables que j’ai envie de vous accrocher au mur. »
J. m’avait attendue longtemps au café et puis il était parti. Le jour où il avait quitté Wall Street Institute, il avait du repasser au bureau ayant oublié un disque dur personnel et avait trouvé mon message. On s’est embrassés sur le pas de ma porte.
Après, on a baisé comme des débiles mentaux pendant plusieurs semaines. Au début, j’adorais J. Le modèle d’exposition dans la vitrine du gendre idéal avec l’option grosse bite qui baise bien, nous avions le même âge, nous étions absolument faits l’un pour l’autre, tout le monde s’accordait à le dire. Sauf Hafid qui regardait J. comme le mouton de l’Aïd, avec un mélange de mépris et de pitié.
H : Alors, comment ça se passe avec l’autre hamal ?
VF : J’ai envie de l’étouffer avec ses choucroutes de la mer.
H : Hein ?
VF : Depuis qu’il ne fait plus les livres avec ses parents, il fait le poisson avec son frère sur Alligre, il en rapporte chaque putain de semaine que Dieu fait. Je vais devoir le tuer parce que j’ai aucune raison de le quitter et j’en peux plus.
H : Pourquoi tu veux le quitter ? Il t’aime, il est gentil et il est con, qu’est-ce qu’il te faut de plus ?
VF : Il crie « Pardon Maman » quand il jouit…
H : Tu mens.
VF : C’est vrai.
H: Donc, faut te maltraiter pour que tu sois contente ?
VF : Bah ouais, on dirait que ça t’étonne…
Le problème pour larguer quelqu’un avec qui tu as vécu une rencontre comédie romantique, si tant est que cette personne soit aussi au delà du cute, c’est que tu te retrouves avec tout ton entourage contre toi. Dans les yeux de tout le monde, tu peux lire « Oh my god ! You killed Bambi !!! » parce que tout le monde a envie d’une fin à l’eau de rose avec un maire et du riz long grain . Tout le monde veut un happy end. Pas moi, bordel.
C’est pas vraiment la fin que nous avons connue, lui et moi.
En sortant de chez Hafid, rue Alexandre Dumas, je marchais vite en essayant de semer J. derrière moi, qui peinait à soulever le nouvel équipement informatique qu’il comptait installer au studio.
J: Ma puce, pourquoi tu speedes comme ça ?
VF : …
J : Oh, oh… VF ?
VF : …
J : Mais arrête de courir, bordel, qu’est-ce qui te prend ?
VF : …
J : Bon maintenant tu m’attends et tu m’expliques.
VF : Hein ?
J : Tu me quittes ?
VF : Oui.
J : Mais pourquoi ? Nous sommes si heureux ensemble !
VF : La vie de ma mère, j’en ai aucune idée.
T’es quand même grave cheulou :O
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Et moi, bizarrement, je ne trouve pas ça chelou. Va savoir pourquoi vu que ma vie sentimentale n’a apparemment rien à voir avec tout ça.
Mais j’ai l’impression d’une sorte de logique immanente à tout ceci : Vieux Félin ne pouvait pas se caser avec un Prince charmant, c’est tout bonnement impossible. L’équilibre du monde en aurait été menacée.
Ou alors je trouve pas ça chelou parce que je suis un tantinet cinglée ? oO
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Dans le fond tu as raison même si la logique veut que chaque fille cherche son prince charmant… Poncif, poncif
Oui tu es cinglée !
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Si vous voulez, je sors le thé et les gâteaux secs.
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Arrête d’essayer de faire croire que tu as du thé et des gâteaux secs dans tes placards plein de brioche en tranche, de Nutella et de Coca zéro.
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pleinS
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Pleins de rien du tout: ABOULEZ LES DONS, BANDE DE RAPIAS.
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Des dons oui, mais ton truc Paye Pâle accepte pas les dons de soi.
Le troc, ya qu’ça de vrai.
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Pourquoi, pourquoi? ben parce que quand ça veut pas, c’est comme ça! (perso cette phrase je l’ai tenté et je recommande pas, j’ai failli me manger un pain ça a fini avec la machette à la main en lui gueulant dessus de se casser, long story short)
Au moins il avait une grosse bite et savait s’en servir, c’est déjà ça..
Pis les comédies romantiques c’est tout naze, c’est trop beau pour être vrai, si ce genre de truc ça existait vraiment, ben ils en feraient pas des films, nan?
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Ca m’est arrivé aussi… Tu n’es donc plus seule à avoir killé Bambi. On est au moins deux :p
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Mais oui, c’est tellement humain de cracher à la gueule de l’amour de sa vie.
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Sasha Grey serait probablement d’accord avec toi…
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+ 1000 !!!
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« Oh my god ! You killed Bambi !!! »
you made my day punk (et pourtant c’est une sale journée de reprise)
c’est dingue comme tant de gens peuvent avoir peur des choses simples et heureuses à un moment de leur vie… mais je comprend… ça peut donner foutrement l’impression qu’on va se faire chier grave !
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C’est parce que les choses sont trop simples qu’on finit par se faire chier et que ce n’est malheureusement pas qu’une impression.
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je pourrais te dire que c’est une réponse de nana « jeune » et pas encore totalement mature et que tu verras un jour ça changera /// mais j’ai tellement pas envie de me lancer dans un débat conflictuel today…
et puis surtout ça sonne tellement vieux con « ouais j’ai fais le vietnam / corée / algérie (rayez la mention inutile) que t’étais même pas encore dans les couilles de ton père ».
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J’ai pas de problème avec ça, je n’ai pas la prétention d’avoir toujours raison.
Je me suis aussi mal exprimée, oui tu as raison sur le fond mais ce n’est pas parce qu’un truc est simple et devrait te satisfaire que ça le fait. Sans exiger du caviar tous les soirs y’a un moment où les pâtes au gruyère ça va bien cinq minutes.
Je crois que je m’exprime toujours mal.
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non non j’adore tes métaphores alimentaires… sans doute en rapport avec ce pseudo.
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J’étais pas heureuse du tout, en fait. Si j’avais du l’expliquer mon billet aurait fait mille pages et non mille mots. ET puis je me serais trouvée en chien d’anecdote si d’aventure je m’étais mis en tête de faire un billet sur le thème « Baiser avec un geek, oui ou non, question rhétorique ».
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Je ne suis pas heureu(x)se
premier ex-aequo avec le « je ne t’aime plus » sur les bonnes phrases de largue.
sincèrement.
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« Je préfère me branler ».
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avec tes pinces t’es sur ???
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Mijaurée, tu sais pas ce qui est bon.
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« Finalement, non merci. Cordialement. »
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« Passe-moi vingt balles, je vais acheter des clopes ».
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« Je préfère lécher de la gerbe de bébé que de revoir ta sale gueule d’enculé. Bisous »
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« je préfère ta soeur »
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« Mes parents m’ont interdit de te revoir… »
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« Baiser avec toi, c’est à peu près aussi intéressant que manger du sable »
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Briseuse de cœur et poseuse de charme, t’es mûre pour Tentation Island.
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Arrête, elle ferait peur a tous les candidats avec ses mots a plus deux syllabes!
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Je leur ai déjà dit non, true story.
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Le monde, que dis-je l’univers a donc été privé d’un heads-up historique entre Vieux Félin et Moundir.
…
…
Je reviens, je vais marcher un peu.
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Mais d’où Moundir il vient de l’Île de la Tentation?
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Tu confonds avec Brandon et son bâton de pluie.
Et sinon, voulez-vous repartir ensemble ou séparément ?
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Voilà et sa catin en plastique qu’on appelait Diana. Je l’ai eue comme cliente, elle était imbuvable, cette truie.
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Où je me rends compte que j’ai déjà rencontré beaucoup trop de gens issus de la téléréalité.
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Détail, l’idée fait son chemin.
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ton surmoi t’as juste dit « fais une bonne action, largue-le avant de le détruire ». je vois que ça.
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Ah…pas con!
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Moi, la première question qui brûle mes doigts est : « Peut-on en savoir plus sur ce projet de calendrier ? » (et comme on dit d’habitude : powerpoint pour l’ébauche du truc, making-of en .mpeg, etc, etc.)
La deuxième question est : « Pourquoi ne pas l’avoir éventré la première fois qu’il a rapporté une choucroute de la mer ? »
Et sinon, pour esssayer d’apporter un commentaire vaguement pas trop con, j’aurais tendance à dire qu’on a tous besoin d’être un peu maltraité ou d’avoir des choses à reprocher à son conjoint. Je ne supporterai pas d’être le looser/complexé/concon/torturé/drogué/fainéant/râleur tandis que ma compagne serait le croisement improbable entre Grace Kelly, Simone Veil, Emily Brontë et Marie Curie. Enfin, ce que j’en dis hein !!?
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Ouais, ouais, ouais … « Machin a raison ». Le projet calendrier, quoi !!!
(loser, max, loser …)
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Ouais bon, j’ai fait la faute que TOUT LE MONDE a déjà fait une fois…
(et merde)
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(c’est bien pour ça, qu’à la longue, il faut penser à rectifier cette croyance populaire)
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1) Non.
2) Parce que j’en avais pas encore suffisamment marre de l’entendre ne parler qu’en répliques de South Park.
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1-2) Pas classe en société.
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Max, je crois qu’on a pas vraiment besoin d’avoir plus de détails sur le calendrier…
la conjonction des termes « Mallaury NATAF » et « Entrevue » doivent être largement suffisant pour exciter ton imaginaire et te laisser entrevoir les pires turpitudes !
(surtout si on saupoudre le tout de vitamines C)
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Et merci.
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L’effet soufflet, non ?
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« Ma puce » ?
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Ouais bon ça… ça va… c’est pas le pire quand même (hein ? dites ? rassurez-moi…)
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J’imagine qu’il y en a certaines qui doivent apprécier, mon poussin.
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Merci bichette.
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Ca y est, je me casse 15 jours et Papaye couche avec Max… C’est vraiment un lieu de débauche, ce blog.
Et surtout, je me casse 15 jours et je ne comprends plus rien aux commentaires. Ca doit être l’effet sensation de mois de novembre dans le Pays de Galles…
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Mais c’est qu’elle nous conterait ses vacances, la capeline !!
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Je préfère même pas te raconter mes vacances, ça te pousserait au suicide…
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« Capeline » ! Mort de laule…
Sinon, quant aux qualités aphrodisiaques de ce blog, j’ai absolument rien à déclarer !!
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Que les choses soient claires, je couche avec dégun à part mon mari devant Dieu.
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Ouah… Mais tu es vraiment du sud, alors… Y a que les gens qui sont looooooin au dessous de la Seine qui disent « dégun ».
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Moi, lorsque je lis (et entends par extrapolation) « dégun »… je lis (et entends par la même occasion) : « Je vous prends tous ici, un par un. »
Et forcément, ça donne un côté cocasse au post de Papaye !
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Je couche plus comme ça c’est réglé, plus besoin de faire la danse de la pluie ou brûler un cierge chaque fois les anglais débarquent.
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La sobriété est une conséquence heureuse de l’abstinence. Je nous souhaite de rechuter le plus rapidement possible.
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Bof, finalement c’est comme lorsque tu arrêtes de fumer. Au bout d’un trimestre, tu finis par te dire qu’en vérité c’était une activité dégueulasse.
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Mais pour toi… se Dio lo vuole, tavu.
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Hahaha dommage, ça m’a jamais fait cette impression de dégoût. Quant à Dieu j’ai arrêté de compter sur lui depuis ma naissance.
La paix sur toi.
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Tous ces fluides, berk.
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Les surnoms animaliers sont à la limite du supportable: mon canard, mon chaton, mon poussin, ma grosse truie (quand j’ai entendu un pourceau susurrer cela à sa douce amie à la terrasse d’un bistrot, j’ai rendu mon coca par le nez et manqué d’étouffer).
En plus, t’as vu la gueule d’un puce? C’est juste monstrueux. C’est un batard d’insecte qui transmet le virus de la peste.
Franchement même la pire raclure mérite pas de se faire appeler comme ça.
(Non je ne suis pas outrancière, c’est Lundi bordel.)
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C’est pas le pire, la palme revenant au type appelé Mozart qu’appelait ma chatte sa « cocotte ». On n’a plus jamais entendu parler de lui…
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Ta chatte ? ton frifri ? Mais qu’est-ce qu’il lui racontait ?
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Rien, qu’elle était chaude, des conneries comme ça …
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(énorme éclat de rire)
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(un agriculteur martiniquais ramassé en boîte, huge mistake)
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« T’es chaude ma cocotte… ! » ???
Même moi, j’ai pas osé la faire celle-là !
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« Lèche-moi comme un tapir !! »
« J’ai envie de te défriser la palourde »
‘tain, je suis sûr qu’on tient un bon créneau pour du POV du pauvre…
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Je viens de rendre mon thé par le nez et manquer de m’étouffer.
AHAHAHAHAHA !!!
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Et résonne dans ma tête « Allez…Hue cocotte! « , « Chauffe ma poule! »
Je l’aurais sans doute coulé dans le béton moi aussi.
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Putain oui.
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tu viens de fusiller mon fantasme numéro un.
…
…
pfff
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Quel fantasme?
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J’aime beaucoup la radiographie qui illustre le billet.
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Les comédies romantiques, c’est merdique.
Les princes charmants sont des gros nazes.
Tu te serais perdue dans cette écoeurante perfection.
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Ça a longtemps été mon problème, cette peur de la perfection masculine.
Du coup, j’ai pris du bide et je pète au lit.
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Tu le sais déjà Pascanet mais je te le redis: tu es merveilleux grâce à ton incroyable bon-sens.
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C’est mon côté crédit agricole.
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excellent :)
(attends si « pardon maman » y’a de quoi fuir (remarque tu mentais c’est ca (jsuis lente des fois (ou souvent ca depend))))
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hey, apres 2 semaines en intraveineuse concentrée de tes textes, cette semaine sans te lire était une vraie désintox, mais voila, c’est toujours aussi BON… les endorphines envahissent mon corps…
pauvre gars tout de même, j’ai eu un peu le cas, en plus trash, surtout quand il s’est mis a me harceler au tel en me traitant de salope finie et de m’annoncer les manières dont il souhaitait me voir mourir, je l’avais plaqué avant de découvrir son mister Hyde… ouf !
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« You killed Bambi »

T’as gardé un trophée?
(image pompée au pif du net, j’espère que ça marche)
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Tu as très bien fait de le quitté, les mec sont buvable un certain temps seulement, après c’est ennuyeux.
Par contre parler des films neurasthéniques ou comiques du Grand Woody en tant que comédies romantiques, là je parlerais plutôt de parodies romantiques.
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gé bi1 fait de le kiter il ay vray, tu a rézon mé se kil fo se dir caytay pa le bon pour mon keur.
je se pa ki c parody.
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Un pote à Woody.
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il déchire vraiment ton Hafid
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J’en ai violemment conscience.
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VF je t’aime
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Quelle vie! que d’aventures et de sentiments (?)
Mais je retiens surtout la miss Siouxsie dont je suis toujours folle!
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l’une de mes favorites :)
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Bon et en vrai, il l’a déposé où son ordinateur ?
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