Dans le noir, tes mains rencontrent les fesses de Stéphanie. Tu les malaxes puissamment, tu les écartes. Trop, d’ailleurs. Tu écartes toujours trop les fesses, ça fait très mal, on dirait que tu veux rallonger sa raie jusqu’aux vertèbres mais tu ne le sais pas parce que Stéphanie ne dit rien.
Dans le noir, tes mains rencontrent les seins de Stéphanie. Tu les malaxes puissamment. Trop, d’ailleurs. Tu malaxes toujours trop puissamment les seins, ça donne l’impression de passer une mammographie et ça fait mal, les mammographies. Mais tu ne le sais pas parce que Stéphanie reste muette.
Dans le noir, tes doigts rencontrent le sexe accueillant de Stéphanie, tu lui enfonces majeur et annulaire sans autre forme de procès et tu remues de toutes tes forces comme dans les films, jusqu’à sentir ce truc un peu dur, qui n’est pas le point G de Stéphanie mais le col de son utérus. Je ne te blâme pas, la différence est subtile. Enfin, non. Mais je ne te blâme pas. Son corps se crispe, tu te dis « gagné » alors que fail, Stéphanie voit sûrement sa vie défiler devant ses yeux.
Le corps de Stéphanie devient maintenant aussi mou qu’une poupée de chiffon, c’est l’heure de lui coller les genoux derrière les oreilles et de la culbuter avec conviction et patriotisme. Elle marmonne des bruits bizarres que tu interprètes comme étant du plaisir pourtant, Stéphanie n’est pas ivre de stupre, elle est juste tombée dans les pommes. Mais tu ne le sais pas, parce que Stéphanie ne dit rien alors naïvement tu penses être le coup du siècle.
Stéphanie ne dit jamais rien pendant l’amour. Les sons de Stéphanie se résument à « Mhmm » Pffmeh », « Arrrghvaz » ou alors « Vouuf » quand elle est vraiment contente.
Le corps peut mentir, les soupirs aussi. Un corps se crispe davantage sous l’effet de la douleur que sous celui du plaisir, quant aux « sons » censés prouver tout le bien que t’es en train de lui faire, rappelle-toi l’époque où, depuis ton lit d’enfant aux draps fusée, tu pensais que Papa faisait mal Maman. T’avais peut-être pas tout-à-fait tort, non?
Cette introduction imagée pour parler de façon toute pratique à ceux qui n’aiment pas les bavardes. Je me demande pourquoi certains hommes débandent sec au son d’un encourageant « Prends-moi à la hussarde! ». J’aimerais les comprendre : est-ce par pudeur (le mot pudique pour dire complexe) ? Occupés à se regarder faire, à s’imaginer être ailleurs, vus voire filmés, serait-il possible qu’un innocent « Mets-la moi toute, sale fils de pute! » soit irrecevable, justement parce que la pornographie de la mise en scène s’en trouve dévoilée et partagée ? J’aimerais qu’on en débatte follement, pourquoi certains et certaines se refusent à laisser autre chose qu’un « oui » sortir de leur bouche ? Et qu’en est-il des femmes qui restent muettes ? POURQUOI ?
Moi, je joins souvent la parole au geste. Je suis une fille du Verbe, j’aime exprimer toutes sortes de choses pendant le sexe et ce, pour différentes raisons.
Parce qu’une belle question telle que : « T’aimes la baiser, ta petite pute douce? » peut difficilement se placer autrement qu’avec une bite jusqu’à la garde, je trouve simplement le moment opportun afin d’obtenir une réponse satisfaisante.
Parce que j’aime qu’on me parle, qu’on me demande, qu’on m’ordonne et qu’on me donne des mots d’amour. Parce que j’aime entendre « petite chienne » à l’impératif. La parole me rend docile, obéissante et malléable.
Parce qu’il est important d’encourager son cheval et pas seulement avec un « oui ». Un « tu me baises bien » n’a jamais tué personne. La communication passe moins bien après coup aussi, c’est en communiquant pendant qu’on peut espérer faire entrer dans la tête de son partenaire que ce petit combo langue et frottement à l’accueil nous rend cinglées. Que celles et ceux qui ne voient pas de quoi je parle imaginent combien il est courtois de bien s’essuyer les pieds sur le paillasson avant d’entrer complètement. Ouais, y’a un endroit rugueux à l’entrée aussi chez nous. Bah frotte là. Juste là. Après tu peux me shaker le fin fond sans me faire miauler de souffrance.
Parce que j’aime apprendre des choses. Aussi, je suis toujours ravie qu’on m’explique comment bien faire. Si on me montre, j’applaudis.
Parce que j’aime bien faire des expériences de ouf comme lire Le Cantique des Cantiques à mon amant musulman slash pratiquant pendant qu’il opère son tout premier cunnilingus. RIP mon boytoy.
Parce que c’est amusant.
Parce qu’on se taira suffisamment quand on sera morts.
Alors bien sûr il est nécessaire d’avoir un minimum d’intimité pour en venir aux déclarations enflammées et aux « Putain, je vais gerber tellement c’est bon ».
Mais ça peut commencer ici…
Parlons-en. Et vive le Verbe.
Plaidoyer pour les mots d’amour.
Vous voulez réagir ? Allez-y !
Ah oui que c’est bon. Merci :)
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Pudeur ? Fausse pudeur ? Manque de confiance en soi ? Dans le contrôle, donc abandon impossible ?
*cherche encore*
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La chienne de garde que j’ai avalée un jour a comme premier réflexe de dire qu’il y a toujours des endroits ou le désir féminin se sent illégitime, et se refuse à s’exprimer.
Et rien à voir, mes meilleurs souvenirs au lit incluent des moments ou je me gondolait (nous nous gondolions) comme une baleine, sans débander d’un ampère, après une blague partagée.
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La chienne de garde que tu as avalé semble pleine de bon sens même si je me refuse à croire que certaines femmes puissent encore penser en 1784. Surtout avec la pression constante des
torchonsmédias tels que la presse féminine qui assomme ses lectrices à grands coups de « Tu vas jouir, oui, espèce de connasse frustrée? »J'aimeJ'aime
oui, mais à bien lire ces torchons, je comprend plus « sois désirable et jouis-en » que « sois désirante et jouis-en ». Il faudrait comparer le nombre d’article du genre « qu’est-ce qui fait bander les Jules » aux articles « qu’est ce qui nous fait mouiller nous les filles au point de voir son voisin se plaindre au gardien pour dégât des eaux ». Encore que ces derniers parlent la plupart du tempos de sacs à main.
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Lawyered. Rien à ajouter.
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Je sais pas à quel point ça me perturbe de lire Phiphi écrire « au point de voir son voisin se plaindre au gardien pour un dégât des eaux ».
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C’est une slut open mind, comme tout le monde.
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Juste magique le frapsus « ceux qui m’aiment pas les bavardes »
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Je ne vois VRAIMENT pas de quoi tu parles…
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Il y a plusieurs raisons de se taire, il me semble.
La première, déjà, c’est quand on est pris au dépourvu après avoir mangé de l’ail, du saint-nectaire au roquefort et des oignons. L’ouvrir dans ce cas reviendrait un peu à assommer son partenaire avec un gros gourdin, et je ne parle pas de bifle (tellement à la mode ces temps-ci) là. Et peu importe la qualité du chewing-gum/dentifrice.
Mais trêve de plaisanterie, pourquoi se taire au lit ? C’est vrai, quelques bons mots sont toujours assez excitants et quelques indications, loin de rabaisser l’ego, permettent au partenaires d’éprouver assez de plaisir pour vouloir se revoir/rester ensemble.
Bon, d’une, la première, l’évidente, c’est la timidité. Je n’en parlerais pas.
Une autre explication peut aussi être la non-compréhension de l’autre, ou la focalisation sur son propre plaisir. Par non-compréhension, j’entends le fait qu’on pense que nos petites indications (les « oui », les soupirs, mouvements de hanche, etc.) sont suffisantes pour que l’autre comprenne. Car c’est l’image qu’on nous montre, partout, du sexe. La focalisation sur son propre plaisir est assez clair je crois : on s’en fout de ce qu’éprouve l’autre, et il ne sert que de caisse de résonance pour sa propre jouissance. Les « oui » et autres indicateurs n’étant alors destinés qu’à être renvoyés à soi pour pouvoir en profiter.
Mais au delà de ça, je crois que c’est simplement un niveau de complicité/entente entre les partenaires. À titre d’exemple, je ne suis ni verbeux, ni muet ; je suis à la fois verbeux et muet : tout dépend de mon/ma partenaire.
Je crois que cet aspect est propre à chacun au final. Certain(e)s aiment écouter de la musique pendant l’acte, d’autres aiment le silence ; il en va de même pour les mots. Il y a des partenaires avec qui j’avais rien besoin de dire, ça se passait tout seul et, au final, on revenait toujours sous la couette avec grand plaisir. Mais aussi d’autres avec qui il fallait s’exprimer, mettre des mots, parce que les mots aussi font jouir, et c’est pas pour autant que ce n’était pas bon, au contraire.
Il y a aussi la difficulté de l’exercice. Si les mots te viennent spontanément, VF, ce n’est pas aussi facile pour tout le monde. Et lorsqu’on prend son pied, il n’est pas forcément évident qu’un « putain j’aime ça » sorte de la bouche.
Et encore à titre personnel, ce qui me vient en premier à l’esprit dans ces moments, c’est surtout des insultes. Si le/la partenaire n’est pas prêt(e) à l’entendre, en général, ça se termine pas forcément bien ^^
Au final, je pense que le principal n’est pas de mettre des mots, de parler, ou de se taire. Ce n’est qu’une des multiples formes de communication au pieu. Non, le principal, finalement, c’est de s’écouter.
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L’alchimie permet ce genre d’échanges, la connaissance de soi et ses limites, ainsi que la facilité avec laquelle on accueille/développe son pôle sexuel inverse. Un homme qui a un pôle féminin très développé aura plus de capacités à amener sa partenaire à l’extase. Et vice-versa :-)
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Pôle féminin ? Pôle sexuel inverse ?
Je. Heu. LOL ?
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Pôle sexuel inverse : je ne connais pas le sexe de la personne qui lit mon commentaire : donc si tu es une femme, ton pôle sexuel inverse est celui de l’homme, et inversement.
Pas trouvé meilleure formulation de phrase.
Pour mieux comprendre ce que j’essaie d’expliquer : http://chinmayamission.free.fr/html/let15_feminin_masculin.htm
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OK. Lu. Bullshit. Je développerai plus tard si ça te dit.
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Oui, intéresse-moi. :-)
Lis plutôt ceci alors : http://www.cgjung.net/oeuvre/textes/animus/index.htm
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Ha oui mais non. Déjà sur l’approche on peut pas être d’accord. Pour moi, la différence « psychique » entre l’homme et la femme est purement sociétale.
Sinon, comment expliquer que certaines femmes se conduisent EXACTEMENT comme des hommes, et inversement ? Il n’y a rien de physique dans cette différenciation (mis à part, évidemment, les appareils génitaux).
De plus, sa théorie présuppose de différencier l’âme du corps. Or la dualité n’existe pas (n’en déplaise aux religieux).
Et, selon lui, « l’esprit homme » serait donc naturel. Comment alors expliquer l’explosion des « métrosexuels » ces dernières années si c’est dans l’état de nature ?
Je le redis donc : bullshit. Toutes ces théories visant à établir une différenciation claire entre hommes et femmes sur base de théories pseudo-scientifiques sont totalement bidons (d’où le « pseudo » devant « scientifique »). On ne retrouve pas un seul caractère de la méthode scientifique dans ces « analyses » et beaucoup trop de biais.
C’est limite si il n’y a pas un red flag à chaque phrase !
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« alors que l’anima est la source d’humeurs et de caprices, l’animus, lui, est la source d’opinions ; et de même que les sautes d’humeur de l’homme procèdent d’arrière-plans obscurs, les opinions acerbes et magistrales de la femme reposent tout autant sur des préjugés inconscients et des a priori. »
Sérieusement? La part de femme en l’homme le rend capricieux et lunatique, et la part de l’homme en la femme la rend autoritaire et décidée? C’est lamentable.
Bullshit!
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\o/
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J’avoue qu’il y a encore quelques années je me contentais volontiers d’un « humm ouiiii » ou d’un « vas-y continue tu vas me faire jouir ». Puis plus tard j’ai connu les « vas-y défonce moi », « plus fort, baise-moi comme une salope » et autres « putain claque-moi le cul bordel ». Bizarre au début, ça avait tendance à me déconcentrer, puis extrêmement excitant à mesure que la complicité c’était installée. Je précise que ma concentration n’était en rien focalisée sur mon plaisir perso mais justement sur celui de ma partenaire, et comme de nombreux hommes j’imagine, j’avais du mal à piger comment dans un pareil moment on pouvait avoir l’esprit assez lucide pour sortir de telles injonctions! C’est certainement cette particularité du cerveau féminin qui permet également aux insatisfaites de se demander si la porte est bien fermée à clé pendant l’acte. L’ennui est qu’une fois qu’on a goûté à ce langage libéré on s’ennuie un peu avec une nouvelle partenaire un peu plus timide… et on risque fort de passer pour un goujat si on tente des trucs.
A par ça, je suis bien élevé et je m’essuie presque toujours les pieds avant d’entrer. (et quelques rares fois j’entre sans frapper aussi pour varier les plaisirs)
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Il y a beaucoup d’héritage social aussi là dedans en fait. La mater et la madone ne sont pas mortes (et reviennent même en force chez certains mouvements……. féministes !)
Du coup, (pour reprendre l’exemple d’un rapport hétérosexuel) lorsqu’on commence à coucher avec quelqu’un qui se présente comme plutôt « mater », le passage à la « madone » peut déstabiliser. Mais une fois que c’est « compris », ça roule ^^
(je simplifie hein)
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J’ai pas compris entrer sans frapper, ça m’énerve. C’est genre « Coucou me voilà? »
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Non, « coucou me voilà » c’est un peu rude, aucune femme n’aime ça je crois. Hum… j’ai pas de formule imagée en tête là, mais c’est plutôt: après le coup de langue je rentre sans m’essuyer les pieds pendant les spasmes.
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Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… GATCHA.
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Linoleum, non, je ne pense pas que tous les mecs se demandent vraiment comment faire plaisir à une femme. Au contraire…
Mais ceux qui sont à l’écoute du corps auront plus d’aisance à combler les désirs de leur partenaire.
Je me reconnais dans ce que tu expliques plus haut te concernant, et il est clair que la complicité joue énormément…
Ce qui est assez jouissif, c’est lorsque les aspects « wild » et « shy » entrent en collision, ça donne un échange particulièrement torride et à la fois retenu, avec une certaine vulgarité plaisante et excitante, parlons même de « pornographie classe ».
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Il y a méprise Olive. Je ne me demande absolument pas comment faire plaisir à une femme!
Relis s’il te plait.
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Il faut arrêter de sortir « l’écoute du corps » à tout bout de champ, oui, c’est mieux d’essayer de se rendre compte du plaisir qu’on donne ou pas mais le corps, ses réactions, sont difficiles à interpréter correctement, de façon infaillible. Pour ça les mots sont utiles, j’en veux pour preuve mes occasionnels « WHAT THE FUCK ARE YOU DOING ? » à l’adresse de celui avec lequel je vis depuis huit ans et qui le connait pourtant très bien, mon corps.
Mais je digresse, je voudrais savoir ce qui bloque ceux qui n’aiment pas. Je pense à l’Écrevisse, qui m’a d’ailleus inspiré ce billet et que j’aimerais bien voir descendre de son snow pour nous éclairer.
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Mouais… Autant je peux comprendre autant je plussoie pas trop (pour une fois).
Je pense pas etre trop coincee du cul et encore moi me prendre pour une princesse mais si on commence a me parler comme a une pute pendant l’acte j’ai vraiment du mal, ca fait completement retomber la pression.
Tu me diras, j’ai vachement moins de mal a sortir des injonctions cochonnes slash vulgaires qu’a en entendre des qui me sont destinees… Et je remarque que c’est plutot ce dont tu as parle d’ailleurs. Alors what? Comment ca se passe quand la personne que tu connais pas forcement depuis plus de quelques mois (ou semaines ou jours, c’est selon… heures meme si ca te fait plaisir) t’insulte pendant lacte? Ca te fait de l’effet ou c’est juste bizarre?
Tu noteras que je pense carrement pas pareil dans le cadre d’une relation plus durable, avec une intimite et une connaissance de l’autre plus poussees.
Voila, sinon jtenais a te dire que ta plume m’enchante toujours autant et que je t’aime d’amour.
La bise.
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Didie jolie,
Oui, je parle plutôt d’une relation, une vraie, en ce qui concerne les chienne, petite pute et sale salope. Mais sans aller jusqu’à une vraie relation amoureuse, une histoire de cul où on se connaît, ça fait la rue Michel easy. Mais je n’apprécie pas automatiquement être baisée comme la dernière des dernières.
Léchouilles.
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Ah ben oui, voila.
Donc : dans une relation ou je ne remets pas en question le respect que me porte mon partenaire ca peut etre sympa de temps en temps. Parce que me faire baiser j’adore. Et que dans ma tete ca marche ensemble. Faut pas que ca devienne systematique non plus…
Apres, les « insultes » c’est pas particulierement mon truc parce que concretement ca remet en marche mon cerveau (« Qui me parle??! ») et que j’aime bien quand il est sur pause, ca detend. Sinon, Un combo : baise + confiance en mon partenaire + jme laisse compltement aller = ma bouche sort des trucs non consentis par mon cerveau apres coup (sans que j’en ressente de la honte pour autant hein, c’est plutot drole) et ca peut etre du grand n’importe quoi…
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Didie merci pour le « çà remet en marche mon cerveau…et que j’aime bien quand il fait pause… » A l’opposé des animamus et animama qui cherchent à tout contrôler par l’analyse et l’explication.
La clef des mots réside je pense dans un total oubli de soi. C’est ce qui permettrai de dire à la femme que t’aime « ma petite pute » ou « ma douce salope » ou encore ma « délicieuse mouillette » ou que sais-je (je ne suis pas un bavard..). Parce que tu dit çà dans un moment particulier çà passe et çà excite. Les même mots exprimés à table « tu reprends du poulet ma chienne adorée » tu t’exposes…
Donc la solution à la question posé par VF (à nous les pas bavards) réside dans « laisses toi complètement aller »
Je précise que ce n’est pas parce que je ne suis pas un bavard que je ne me sert pas de ma langue (trop poli pour parler la bouche pleine?)
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@ Linoleum :
« sur mon plaisir perso mais justement sur celui de ma partenaire, et comme de nombreux hommes j’imagine »
» OK, ça prête à confusion.
@ VF :
Je dois dire quoi à la place de « écoute du corps » ? J’écoute l’autre et son corps, j’vois dès lors pas de synonyme, mais s’il te plaît, éclaire ma lanterne. :-)
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C’est pas l’expression qui pose problème. Je souligne l’utilité de la parole. Relis l’histoire avec Stéphanie si t’as pas saisis en quoi « l’écoute du corps de l’autre » n’est pas fiable à 100%.
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Un mauvais mot au mauvais moment, ça peut te saloper les finitions en deux secondes, mais avec the right word at the right place, tu peux faire bander une grue.
Sinon perso, je vois pas comment je pourrais ne pas être suffisamment à l’aise pour lui causer mais assez pour jouir.
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Right, genre tout ce qui est à base de « Maman veut » et « Mon tout petit »
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J’espère que tu dis pas ça rapport à mon grand âge. Parce que le premier qui me donne du « Maman » pendant une défonce-party se verra émasculé dans la seconde.
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Mais jamais de la vie, voyons, t’as douze ans à mes yeux.
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Je l’ai déjà dit mais… PAPAYE PRESIDENTE !!!
tiens d’ailleurs cette histoire de mots ça me fait penser à cette phrase « classique de comédie » des mots d’amour anglosaxons « Who’s you dady hun ? Tell me who’s you’re Dady bitch ?!!! »
ça m’a toujours fait halluciner…
vous vous voyez dire « c’est qui ton papa hein ? c’est qui ton papa ma petite salope ?! »
sans déconner :D
et puis les filles, sans rire, le mec qui vous balance ça en pleine levrette, il se la roule, se la colle sur l’oreille et il la fumera plus tard non ?!
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Bon. Déjà il me semble que notre vénérée taulière introduit son plaidoyer avec une mauvaise foi insondable, confondant allègrement dirty talk et communication sexuelle de base. Il ne me semble pas que « Non, là tu es dans un pli, d’ailleurs ça me fait penser qu’il faudrait que je me remette au step » relève de ce qu’on nomme le dirty talk.
Qu’on soit bien d’accord, je n’ai rien contre la signalisation, il parait même que ça peut sauver des vies.
Mais le dirty talk c’est le mal.
– parce qu’un « oui, défonce-moi fort » quand tu es précisément en train de commencer à sentir le brûlé tellement tu limes est en soi une lapalissade navrante. Personne ne dit « oh oui, fais-moi du café » quand tu es en train de faire vibrer la Nespresso, ça n’a aucun sens.
– parce que le dirty talk a ses limites, mais pas les mêmes pour tout le monde. Par exemple, répondre « Ta gueule » à un « Tape au fond je suis pas ta petite sœur » (Big up l’Arabe) et c’est souvent le buzzkill ultime. Respect da game, bitch, c’est toi qui a commencé à barboter des saloperies.
– parce que parfois – mais rarement dans mon cas car je suis un gentleman – la jeune fille gagne à exposer ses atours plutôt que ses idées. Soit parce qu’avouons-le, elle n’a pas grand chose à exprimer et si t’en es à l’étape plumard t’as largement eu le temps de t’en rendre compte, soit parce qu’elle a une voix qui te rappelle la fois où tu avais tenté de découper une poule vivante à la scie sauteuse rouillée (je n’ai jamais fait ça). Là perso, ça m’est déjà arrivé de simuler tellement j’en pouvais plus.
Le seul dirty talk qui m’ait jamais séduit – et je rejoins notre ami à la sarisse – c’est le dirty talk drôle, j’ai nommé le dirty lolk. A doser avec précision, sinon le match peut être reporté pour cause de terrain impraticable mais sinon, c’est que du bonheur. Un petit « Non mais tu verrais ta tête, tu manques vraiment de dignité. Non mais reprends-toi, sérieusement » pendant l’acte avec un rien de malice dans le regard et je serai ton esclave pour la nuit, sweety.
Voilà, que ceux et celles qui ne verraient dans ces lignes que de la dérision camarade se prémunissent de nous faire part d’un commentaire aussi bêtifiant qu’inutile, on est chez VF, c’est un site sérieux ici bordel.
Moi, je veux mourir seul et en silence, s’il vous plait.
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Merci d’avoir souligné cette flagrante mauvaise foi je me demandais quand quelqu’un allait oser, je peux retourner lire ton commentaire. LOLVE SUR TOI.
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Et je reste absolument pas d’accord avec toi. Le dirty talk, c’est la vie. Excepté pour « parce qu’un “oui, défonce-moi fort” quand tu es précisément en train de commencer à sentir le brûlé tellement tu limes est en soi une lapalissade navrante. Personne ne dit “oh oui, fais-moi du café” quand tu es en train de faire vibrer la Nespresso, ça n’a aucun sens » Je plaide coupable. Et je suis publiquement navrée pour tous ceux à qui j’ai fait le coup.
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Peut on dire :
« un café plus serré ou plus fort » surtout quand la machine est allumer ?
« un p’tit chocolat avec » paske avec c’est trop bon.
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OK, génial, merci, j’ai l’oeil qui brûle à cause du scotch, rapport au fait que ton commentaire m’a fait rire en plein ravitaillement.
Je te hais, c’est du bon scotch.
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Comme quoi un mot juste peut provoquer une réaction spasmodique. Mais bizarrement c’est plutôt auprès de la gente masculine que j’arrive a spasmodé. Et en générale ça ce fini par une main dans ma heule.
Donc avant toute chose je te prierais de m’excuser pour ce scotch. Ensuite il faudra que tu m’explique ce que ton verre (ta bouteille ?) faisait a hauteur de tes yeux. Tu vérifier les niveaux ?
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verifiais… (vous aurez corriger vous même)
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corrigé… (en effet)
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Fuck ! Parfois je me boufferais les couilles et ce n’est pas de l’onanisme.
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En fait, pour boire, je suis assez mal foutu. Je dois lever le verre jusqu’à mes lèvres qui, alors même qu’elles ne sont pas forcément pulpeuses, sont situées sous mon nez. Ce nez, aussi étonnant que cela puisse paraître, et qui ne ressemble en rien à un nez de juif dont je n’apprécierai pas même l’humour, est placé à quelques centimètres sous mes yeux, qui sont eux même au nombre de deux, de part et d’autre de mon visage ingrat et grassouillet.
Après cette petite description anatomique dont je vous passe les détails les plus ignobles et dont vous pouvez dores et déjà apprécier la difformité, il convient de décrire le verre utilisé.
Ce verre, bien qu’ayant traversé la moitié de la planète pour atterrir jusque dans mon placard, est un verre à scotch classique, dont l’unique valeur est sentimentale, c’est dire s’il ne vaut rien. Il est d’un diamètre d’environ 7cm pour une hauteur de 9. Le poids à vide fait entre 300 et 400g je dirais.
Le problème est que ma bouche (formée par mes lèvres) se situe à plus ou moins 7cm de mes yeux, ce qui fait que lorsque je veux boire une de mes boissons préférées (scotch ou cognac pour les bourgeois, vodka et ricard pour la plèbe, martini blanc dans les soirées où mon challenge est de lever de la radasse) ils se trouvent forcément dans l’espace intérieur du verre.
Et lorsque je rigole ou spasmodie, j’expire de l’air. Encore une difformité. Dans la situation où je me retrouve à rire lorsque je veux boire à ce verre, l’éjection d’air (on ne peut pas réellement parler d’éjaculation dans ce cas, et d’ailleurs, éjaculer dans du scotch, c’est du gâchis) (sauf si ledit scotch est en fait le ruban adhésif qui tient fermement le hamster, mais là c’est une toute autre histoire) ; l’éjection d’air, donc, propulse le doux alcool jusqu’au cul du verre qui, par un effet physique d’action-réaction, se trouve être rétro-propulsé vers l’extérieur, c’est à dire sur mon visage (au demeurant, si d’aventure on parlait « d’éjaculation d’air » je pense que le terme « d’éjaculation faciale » s’appliquerait dans ce cas).
Et donc, si vous avez bien tout suivi, potentiellement dans mes yeux. Ce qu’il s’est passé ici.
En espérant vous avoir éclairé à ce sujet, veuillez recevoir, je vous prie, mon poing dans la gueule le plus sincère.
P.S. : vous avez parfaitement raison de parler de bouteille. Le diamètre étant plus petit que celui du verre, un tel accident n’arriverait pas. Seulement, en tant que britannique, je ne peux boire mon scotch à la bouteille, ce serait déshonorant.
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C’est proprement dégueulasse.
J’ai kiffé.
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Quand tu veux, où tu veux. À vot’ sévice !
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ah oui quand même.
Permet moi de te donnée quelques conseils.
Les lunettes ! Les lunettes devraient résoudre un grand nombre de tes problème. Tout d’abord ton nez aurai une utilité que éjaculé de l’air (bien que ce soit une de ces 2 grandes fonctions). De plus il en serait paré et décoré. l’espace entre ton nez et tes yeux est idéal pour les posé. Imagine que ton nez fusse a 37 cm de tes yeux . Et bien une paire de lunette a mi-chemin (soit environ 18,5 cm), ne sert strictement a rien. Même poser soit devant tes yeux (mais pas sur ton nez puisqu’il se trouve a 37 cm) te donnerai un air ridicule. Mis sur le bout de ton nez elles serait d’une inélégance rare. Quant a ton visage, cette paire de lunettes devrait le transformé. Songe combien cette même paire change une quelconque hardeuse en working woman nymphomane (et ce même complètement dévêtu). T’as déjà vu Ray Charles ou Polareff sans lunette ; ben c’est laid.
Autre avantage, si tu portes à ta bouche ce verre pour le moins banal (et dont la densité sentimental me laisse perplexe) en portant ces lorgnons tu passera du statut d’alcoolique lambda (mais pas encore anonymes) a celui de Steve Mac queen avec ses parasol (ben oui elles peuvent être de soleil).
Enfin et pour finir sur les lunettes, elles te protègeront très efficacement de toutes projection de force 6.
Mon second conseil serait de rire par la bouche. L’éjaculation d’air en serait alors moins fort car l’ouverture de celle-ci est (il faut l’espéré pour toi) plus grande que le diamètre de tes narines. Du coup toutes réactions enchaines ce trouve a amoindri.
Resituons la scène une fois intégré les différents éléments susdis. Tu porte donc ton verre de scotch vers ta bouche en lisant mon post caféiné. Et la tu ris, tu pouffes, ou tu te tapes la cuisse (avec l’autre main bien sur, t’es pas belge tout de même) ou encore tu t’esclaffes (bref tu réagis émotionnellement et corporellement). La projection de ton haleine chaude devrais au mieux mettre de la buée sur ton verre. Une vaguelette devrais animais le fond de ton verre. Quand bien même tu roulerais sous la table (je te dirais que tu sur réagis un peu trop la), laissant échapper le récipient a base de silice, et bien alors les lunettes te donnerais une classe de folie (un peu comme George Abitbol) et a la fois protègerai tes 2 yeux (éloigné de 2,6 cm l’un de l’autre) de toute projection alcoolisé. Et la il ne te reste qu’a te relevé avec nonchalance et de dire « Putain ! Il est vraiment aussi con que tu suce bien chiennasse ».
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Est-ce que les lunettes empêchent le saignement des yeux suite au meurtre de la langue française ?
Je pose la question.
(j’en pose aussi une autre : lorsque vous l’avez sauvagement assassiné, a-t-elle souffert ? J’espère que non)
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non.
oui.
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Je développe ma réponse précédente.
Non bien sur. les lunettes ne protègent pas contre ce que tu considères comme des énormités orthographiques. Et tu a bien raison de poser la question même si je pense que tu connaissais la réponse au moment ou tu tapotais de tes petits doigts boudinés ton post. Ce n’était donc que du sarcasme mal placé.
Quand a t’as deuxième question je ne peux que y répondre par l’affirmative. J’ai toujours cracher sur Ta langue française à toi petit bourgeois suffisant. Bois tons whisky, recrache le par tes narines, souffles bien dans ton verre et que son contenue te brule la cornée a t’en rendre aveugle. Ma prose dysorthographie de fais saigner des yeux, tu m’en vois heureux. PUTAIN DE BORDEL QUE LE PÈRE NOEL ENPAPAHOUTE MA MÈRE, j’ai enfin reussit ma vie… tu est handicapée physiquement. Tu passe du statut de mal-comprenant a mal-voyant et j’en suis ravi.
Ah non ! Ce n’était qu’une image… tu n’est pas aveugle. C’est dommage tu retournes à ton statut de p’tit con.
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Tu le fais exprès … les fautes, je veux dire. Le « petit bourgeois » te trahit.
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@Marian Non je ne le fais pas exprès. C’est juste que je suis un grand dyslexique. J’ai eu le droit aux orthophonistes et autres méthodes d’apprentissage de l’écrit alternatives. Cela n m’a pas empêcher de faire des études et de travailler, mais ce fut et ce sera toujours un problème.
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En même temps, « grand dyslexique » (c’est comme les grands brûlés ?) c’est pas écrit dans ton pseudo.
« Petit bourgeois suffisant », je la garde celle la, on me l’a jamais faite. Ce n’est pas « ma » langue française, c’est la langue qui fait que, quand on prétend écrire français, les autres francophones comprennent ce qu’on écrit. C’est pas bien grave de ne pas pouvoir y arriver, mais c’est déjà bien beau d’avoir essayé. As-tu testé les correcteurs orthographiques et grammaticaux automatiques ? C’est pas la panacée, mais ça aiderait déjà je pense.
Là où tu gagnes un point cependant, c’est que tu sous-entends, par ton « petit bourgeois », que je ferais partie d’une classe plus aisée que la moyenne. Ce n’est pas faux, sans être pour autant de la « classe supérieure » j’avoue m’en sortir bien mieux que, peut-être, 95% de la population mondiale. Je sais où est ma place actuelle, et j’avoue que j’ai eu de la chance dans ma naissance. Mais pas bien plus que toi.
« Suffisant », en revanche… Mh. Je ne prendrais pas le risque de me comparer à toi, ne te connaissant certainement pas « IRL », mais je crois avoir déjà montré à de multiples reprises par le passé que ce n’était pas le cas, et espère bien le montrer encore longtemps. Pour prendre un exemple pas si éloigné de ma position, je suis l’ingénieur qui combat avec les ouvriers.
Tu prends la mouche pour quelques bons (ou mauvais, au choix) mots, soit. Tu veux quoi, des excuses ? Prépare tes rations mon gars, t’es pas rentré !
Comme disait l’autre : le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence.
Bisous !
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Je n’attends pas de toi des excuses. Je n’attends pas grand chose de toi.
Et pour paraphraser ton copain George :
-J’ai rencontrer un jour ce type à la ferme.
-L’autre me demande qu’elle ferme.
-Je lui repique « La ferme ta gueule toi Ducon, espèce de crétin qu’est ce que tu veux ? Nous prendre la tête ? »
Je cite de mémoire et je peux me tromper. Je peux aussi citer « le grand détournement »
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Cette comparaison avec la machine à café fait le bonheur de ma journée.
Je tiens quand même à t’informer que le dirty lolk ne fait pas forcément l’unanimité, j’en veut pour preuve les regards perdus et apeurés qui ont déjà fait suite à mes blagues alitées.
Ensuite, et bien que cette comparaison a fait mon bonheur (cf deux lignes plus haut), il arrive qu’on te prépare un petit café sans prétention, quand tout d’un coup, réveillé par l’odeur, tu te rends compte que tu en veux plus. D’où ce soudain sursaut : » tavernier, vous me le ferez bien fort et bien serré, merci ». (cette métaphore m’est très difficile vu que je déteste le café, mais passons).
Ma conclusion se rapproche fortement de celle de la tenancière : Le dirty talk c’est le bien, mais faut quand même bien se connaître.
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Balance tes fails de dirty lolk : c’est plutôt du genre :
– C’est 50€, attends tu crois quoi, je viens des pays de l’Est.
ou :
– Haaaaa, je me rappelle, quand j’étais un mec…
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Dieu tout puissant… T’embrasses ta mère avec cette bouche-là?
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Ben quoi?
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Rien en fait. J’avais juste envie de faire ma majesté offusquée… et de dire Dieu tout puissant.
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« Dieu tout puissant » je pense que j’accepterai comme dirty talk. Magnanime t’as vu.
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Et « T’es dedans, là? » ça passe?
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Ouais, ça peut faire une bonne amorce de dirty lolk.
Au même titre que de se coller le sticker du lapin « Attention ne mets pas tes doigts là, tu risques de te faire pincer très fort » sur la fesse droite.
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Ne rigole pas avec ça VF ! Mon plus beau lolk-fail, c’était pour ma toute toute première fois… Je l’ai entendue murmurer dans mon oreille : « Arrête d’aller et venir, t’es pas dedans ! »
Inutile de dire que suite à ça, j’ai bandé comme un carré Hermès !
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Ha ha haaaa !!!
Le fameux mouchoir pudique.
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Fail okay, mais lolk c’est valable que si c’est pas vrai hein. Si c’est une vanne. Juste pour info.
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‘tain !! ‘crevisse !! Mais c’était une blague qu’elle a faite… Mais bon, moi, ça m’a pas fait rire… Le stress, toussa !
Un foulard je te dis, un foulard !
@ Marian : + 1000 !
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Le « C’est mon nombril, ça.. » dans le même genre de fail. Mais quand c’est du vécu, on en rit jaune un peu. Pour ma défense, c’était la primera vez.
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50€ ? Putain l’écrevisse, c’est pas avec toi que je vais faire fortune.
Je t’avoue ne pas me souvenir précisément de ces fails humoristicosexuels, mais, me connaissant, on s’approcherait plus de roucasseries mal placées que de confessions quant à mon statut de femme nouvellement acquis. (Tu avoueras quand même que le travail a été assez bien fait, du moins pour mon visage.)
(c’est pas avec ces conneries que j vais arriver à pécho ici, moi)
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Quel plaisir de voir la belle langue francaise utilisé à des fins si jouissives (ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit). Bravo pour cet article, je découvre ce blog a l’instant et quel bonheur de rencontrer une si belle plume surtout sur un sujet tel.
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Wayou . Jamais osé pour ma part, de peur de passer pour une dingue … En fait c’est ça, c’est la peur de tout foutre en l’air, déstabiliser l’autre et être responsable de cette destabilisation pour entendre à la fin : » Ouais mais c’toi avec tes conneries » …
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« Prends-moi à la hussarde ».
On n’apprécie pas parce que c’est drôle.
Et que le rire ça fait retomber la tension chez certains d’entre nous.
Et que ce n’est vraiment pas le moment.
Ou alors à faire juste avant de passer aux choses sérieuses.
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Avec de la complicité, les propos échangés dans l’ivresse du plaisir ne peuvent qu’apporter un plus ! J’avoue adorer entendre mon amant me parler, me dire des mots de plus en plus osés au fur et à mesure de l’élévation des ébats. Par contre je jouis tellement que j’ai du mal à prononcer une phrase intelligible !
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Moi j’aime le sex bestial.
Hors, comme chacun sait, la bête halète, grogne, gémit mais en aucun cas ne formule du ‘sujet-verbe-complément’
La bête ne possède pas de connexion à Youporn, non plus.
Elle a, par contre, des mains pour guider la bite maladroite ou trop empressée.
Je kiffe le côté sauvage, primitif et instinctif de la copulation, y mettre des mots serait la dénaturer pour moi.
En parler, je le fais sans tabou, mais pas pendant l’acte.
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toi tu n’as jamais claqué les fesses en criant « hue dada ».
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VF mon Héros !
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« Dirty lolk » ou « dirty talk » ou « shaker instinct » ou « natural flower »…
Putain faut avoir fait Sciences Po pour baiser maintenant.
« – Et vous Madame, vous êtes quoi ?
– Plutôt Dirty Fuck & slash over the rainbow and you ? »
Bon, ta gueule et suce.
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histoire d’illustrer le propos de ce billet, voici l’opinion d’une dame que je connais pas mais qui a une belle voix :
[audio src="http://sd-5.archive-host.com/membres/playlist/6d791106dcd34056db16df8379418c3b51a08d6d/The_Herbaliser_-_Sensual_Woman_1.mp3" /]
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ces mots-là ne me viennent qu’en espagnol maintenant, même si je suis avec un français… et c’est d’ailleurs souvent plus facile à dire quand ce n’est pas ta langue maternelle…
sinon ma bonne Crevisse tu m’as fait mourir de rire, merci.
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ça fait souvent beaucoup plus d’effet quand on te dirty talk dans une langue qui n’est pas la tienne je trouve !
(à part peu être l’allemand et le néerlandais … deux idiomes que je soupçonne d’être hautement débandant mais cessons ces digressions)
sans doute par ce que ne comprenant pas tout, l’imagination prend le pas sur la réalité et le fantasme s’en trouve décuplé.
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Oui Pinpin, le fantasme des culs plait !
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cymbales !
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/bruits de toux gênée au fond.
Pinpin tend un mouchoir au Chômeur suintant de remords.
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Même pas un petit « arrr, ich mag daïnen grosseuh Dick, NORR ! » ?
(j’ai plus ou moins francisé pour les non-germanophiles)
Franchement t’es bégueule.
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Attend, mais le « Frappe moi et insulte moi en allemand! » , y’a pas mieux! (quoique ça ne soit approprié qu’attaché sur le radiateur, à genoux dans des legos..)
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Lu sur VDM :
Aujourd’hui, j’ai fait l’amour avec mon copain.
Quand nous avons changé de position, il a crié : « Transformation Power Rangers ! »
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C’est une mine d’or ce site :
Aujourd’hui, je prends ma douche chez ma copine, qui habite chez ses parents, et utilise donc le gel douche de son paternel. À mon retour dans la chambre, elle me fait une gâterie, s’arrête, rigole et lance : « J’ai l’impression de sucer mon père. »
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… « s’arrête, RIGOLE, et lance »… <_<'
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Je suis un silencieux. Je ne sais parler.
Pourtant je sens bien que quelques mots permettraient autre chose.
Juste des mots à échanger pour être ensemble.
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Il y a fort longtemps, sur un continent lointain, j’étais affairé avec une autochtone bien déplaisante à mon goût. Soudain, pour éviter d’abaisser pavillon et repartir la queue basse de cette relation tiède, l’envie me prit de lui balancer des insultes dans ma langue natale dont elle ne comprenait pas un mot. Néanmoins, elle avait compris que dans ce contexte je ne récitais pas du Ronsard. Résultat concluant de cette première expérience de dirty talk: la grosse méxicaine appréciait se faire insulter en Français et de mon côté j’étais reparti comme en 14.
Quelques années plus tard, revenu en France, en couple avec Fulana de Tal depuis plus de deux ans, j’eus à nouveau l’occasion de pratiquer le dirty talk… avec un résultat contraire. Elle n’aimait pas parler ni faire de bruits pendant l’acte (boring) au point de faire passer le réfectoire d’une abbaye pour une cour de récréation d’une école primaire à l’heure de ladite récréation. J’avais tenté de glisser une ou deux insultes discrètes, même un ou deux mots doux d’amour-unicorn approved, de lui en parler sérieusement: nada, tu la bloucles ou c’est ceinture!
Jusqu’au jour où, en plein milieu de l’acte, elle rompit son voeu de mutisme sexuel pour me demander que je l’insultasse. Un peu déstabilisé par la requête de cette pétasse et connaissant sa pudeur, j’y allais soft, en douceur et murmures, évitant de me montrer insultant (alors que c’était justement le but, je sais bien, mais j’suis pas lâche, j’suis prudent). « On est pas dans un roman Arlequin, insulte moi! » éructa t’elle. « Tu vas voir comment je vais te baiser sale pute! » lui obéis-je immédiatement. Subitement, je reçus sa main dans ma gueule, elle se retira et asséna à mon encontre: « qu’est ce que tu peux être vulgaire! ».
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Putain, ces gonzesses, savent pas ce qu’elles veulent!
Ton anecdote m’a bien fait marrer, anyway, même si je pense que tu l’as un peu abrégée.
Mais au final, est ce que tu as su les vraies insultes qu’il lui fallait?!
Parce que quand même, « je vais te baiser, sale pute », ça devrait fonctionner un minimum.
So? True story?
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True story hélas.
Oui, j’ai abrégé l’anecdote car j’ai tendance à être trop expansif lorsque je m’exprime. Et les commentaires en forme de romans c’est pas ma tasse de thé.
Ce que je peux rajouter c’est que je ne me souviens plus ce que je lui ai dit lorsqu’elle m’a demandé de l’insulter, mais c’était trop verbeux, recherché et mielleux pour être honnête et répondre en quoi que ce soit à ce qu’elle désirait. Du genre: « Lorsque mes coups de reins détruiront ton vagin, je planterais mes griffes dans ton dos de catin. » Je grossis le trait, je ne sortais pas de rimes en quasi alexindrins, mais l’idée est là: je lui récitais un roman à l’eau de rose dans lequel j’insérais de timides insultes venues d’un autre siècle.
J’ai jamais su ce qu’elle aurait désirée entendre car deux mois plus tard je partais faire l’acquisition d’une ponceuse à cornes. Peut-être a t’elle rencontré quelqu’un qui a su lui dire les mots justes? I don’t know and I don’t give a fuck.
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je ne suis pas fan du bavardage au lit. je n’y suis pas opposé, il m’arrive de dire des trucs, comme « tu sens comme ça glisse » ou « haaaar », et j’apprécie qu’on me dise si je fais erreur, ou qu’on m’encourage, mais grosso modo je trouve que c’est bien de se taire, aussi.
parce que parfois les femmes te disent des trucs qui se réfèrent à ce qu’elles disaient à d’autres mecs, UN autre mec, et ça ben c’est pas bandant.
Et puis je n’aime pas la concupiscence, ce regard qui te fait sentir comme un bigmac pour un obèse.
mais j’avoue que je suis pas une réfèrence, et que je songe de plus en plus souvent à me faire une raison, renoncer par avance au sexe, me laisser grossir et tout le bataclan.
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Frère d’armes.
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Je découvre… Le blog, je veux dire… Ca déménage!!!!!!!
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Tout d’abord je viens de me rendre compte qu’anorexique rime avec colique et ça me fait mal au fion. Nous venons en paix, mais avec la crotte au cul, (oui cette entrée en matière est quelque peu fécale mais n’est-ce pas le sujet.?!) commentez Vieux félin, tes articles mijotés de bon marché. Quand je disais « nous », je pensais deux. Non pas pour reprendre les propos de Jean-Claude Van Damme (pas le pape, le frère de Demi Moore, qui n’était pas lui-même le frère de Roger. Et pas Rabbit.) : 1+1=11 mais 1+1=1, enfin une équation à double tranchants, mais tout simplement parce que sur cette chaise en bois de hêtre sont posés deux « fessards » (le correcteur d’orthographe nous propose « froussards », c’est sûrement ce que nous sommes).
Mais présente-toi sale pute!! Bon déjà on est deux alors tu conjugueras bien t’entends! Alors y’a Elodie, celle qui jouit quand c’est mardi et Marine, on l’appelle sa besta, BFF (bande de founes fraîches), elle, elle est plutôt pusillanime (plus y’a de fous, moins y’a de mines).
Déjà, on aime bien ton flot négro, et ta plume posthume.
Alors si ta passion c’est pas Francky Vincent mais la joute verbale, celle qui fait mal quand elle s’emballe, qui te fais suer comme dans une partie de handball, si t’as pas peur d’affronter Sébastien Chabal, nous serons ravies de te renvoyer la balle.
Pour coller à ton article : « Si ça fait mal, que tu cris, tu jouis, c’est qu’j’suis dans ta chatte ». Paul Prévert.
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Juste pour information, nous venons de pondre cette bouse.
Cela te permettra de nous voir de vis à vis.
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Je reconnais bien là l’auteure de « Va bouffer ta chatte, toi ».
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Aaah le dirty talk, vaste sujet.
J’ai souvenir que je dois commenter ce post eu égard à une discussion récente avec notre ami l’écrevisse, alors commentons.
Je ne suis pas trop fanatique de la pratique, disons que des mots trop crus sortant de ma bouche me donnent toujours l’impression de sortir d’une vidéo porno amateur youporn. Et je ne suis pas encore assez amoureux de ma personne pour laisser passer des « t’aimes ma bite hein salope » et autres joyeusetés. J’ai toujours l’impression de sonner faux et ça bride toute initiative de ma part.
Il faut tout de même souligner le cas de la fille qui ne parle pas un mot de français, le dirty talk devient alors très amusant, la personne en face ou en dessous ne pouvant se fier qu’au ton pour déterminer si on lui dit « que tu es belle ma chérie » ou bien « engloutis mon chibre, sale pécheresse ».
Il devient alors très drôle de déclamer des banalités sur un ton hyper vindicatif et des horreurs sur un ton mielleux.
Je me souviens d’une soirée passée en Alabama, haut lieu de culture s’il en est (on m’avait demandé si j’étais russe, anglais, brésilien ou africain à l’écoute de mon accent très prononcé, c’est dire).
La puissance de mon accent français m’avait permis sans mal de convaincre une frat girl que j’étais le mec le plus désirable du monde (ça court pas les rues les parisiens là-bas) et qu’une nuit suffirait à me faire envisager mariage et autres conneries (ça me parait énorme quand je l’écris mais c’est la triste condition des malheureuses de cette région oubliée des convenances européennes).
BREF, à un moment donné, la jeune femme me demande de lui dire quelque chose en français, complètement émoustillé par la langue française. Alors pris d’un moment de folie, je lui dis sur le ton le plus agressif possible, je lui assénai un brutal « un canapé est plus confortable qu’un FAUTEUIL, HEIN ! ». Et elle de m’en demander encore.
Un monde s’ouvrait alors à moi, je pouvais dire n’importe quoi et en plus je pouvais allègrement la faire tourner en bourrique, le pied intégral pour un petit con.
Le reste de la soirée fut estampillé d’agressifs « une serviette de bain, c’est mieux quand elle est GRANDE ! » et de douces horreurs murmurées à son oreille.
C’est devenu depuis un jeu avec moi-même et je n’aime rien tant que me payer la tête d’une non-francophone avec ce petit divertissement.
Sinon j’aime bien sur entendre des cochoncetés criées en plein action par ma partenaire, sûrement mon côté d’horrible macho avide de possession, de souillure et d’anti-féminisme primaire, j’ai pas trouvé d’autre explication.
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Le Branleur, mon idole :D
Je t’imagine en pleine action lui murmurer « passe moi le beurre ya la nouille qui colle au fond ».
You’re magic Alabama !
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Hahahahaha! C’est excellent.
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VF,j’ai une question très con.(j’fais ce que je peux) (c’est genre un courier de les coeurs, mais jsuis tache et j’me dis que j’vais quand meme pas trainer sur jsaispasquelsitenaze pour poser une question si minable (du coup jte la pose a toi, des fois que t’aies que ca a faire de me repondre (nan mais ca me fait chercher comme une grande quoi dire aussi)))
bref.
ma question con :
mon mec de dimanche (adopte, a l’arrache, mais c’était sympa, j’voudrais le revoir rapido) (oh pi merde, j’ai 2 ans en gros en mecs des fois, j’me le suis tapé genre au bout de 30 min, alors ca fait pas forcement très sérieux, j’sais plus ce qu’ils ont dans la tronche moi)
(pi crotte)
(nan c’est trop con hein, j’ai pas 14 ans, j’dois me demmerder comme une grande)
(pi tu t’en fous aussi, surtout)
mais euh.
c’est que tout a l ‘heure il m’a (jcrois) bachée par texto, mais la il m’dit de pas bouder (MERDE J’AI 2 ANS) et qu’il veut m’revoir
je fais quoi, je le laisse poirauter un peu? j’lui rép: ben oui ramene ton cul demain m’en fous si ca te fais de la route et qu’tu taffes le lendemain, mes hormones, merde? Appelle moi la tout de suite zut a l’écrit c’est ambigu,j’veux entendre ta voix, bordel, j’ai eu envie de toi tout hier deja? Ou j’fais style j’ai autre chose a faire que de répondre, style j’ai trop une vie super remplie et j’ai pas passé mon aprem a bouder a moitié qu’il m’aie baché?
jsais pas.
j’me tate.
(bon, ben jvais me tater jusqu’a demain jcrois)
(dans une prochaine vie, j’saurais comment me comporter avec les mecs, d’instinct (tant qu’a faire))
bon. fait pas gaffe VF, j’dis n’imp.
j’te fais des bisous.
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